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اللغة الفرنسية السنة الرابعة متوسط

عاجلو أدخلو لتساعدوني بليييييييييز

أريد حل كل الصفحتين 91-92 productio écrit
أرجو منكم أن تساعدوني

اين انتم يا اخوانييييييييييييي

اسسف + ممكن تساعديبني في موضوعي
اواد مو شفتيه اريد حل صفحة 76 رقم 2 و3 تمرين بليظز

Production de l
’oral

La Cigale, le tabac et la F
ourmi. L’auteur est Delestre.

Elle s’inspire de la célèbre fab
le de Jean de La Fontaine «
La Cigale et la F
ourmi.
»

Par la Ligue nationale contre le cancer, 1991. Elle vise à faire prendre conscience et à
sensibiliser contr
e les dangers du tabac.

Dans la première vignette, la C
igale est jeune et en bon
ne santé. Dans la dernière, la
C
igale a prématurément vieillie, son teint est livide, pâle, elle tousse
: elle a l’air
gravement malade.

Fumé, manque, clope, mégot, nicotine, t
iges, fumais, toussez, antitabac.

Les mots synonymes sont
: tige et clope

أظن هذا هو الحل وأتمنى أن أكون قد أفدتك


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Compr2hension de l2crite p1 s2 2022-2022


merciiiiiiiiiiiiiiiiii

moi samah ali
merci

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orale+lecture projet 02 séquence 01 4AM


السلام عليكم .تحية طيبة للجميع القائمين على المنتدى مع تمنياتنا لكم بالتوفيقفي مهامكم النبيلة.

بسم الله الرحمن الرحيم

شـكــ وبارك الله فيك ـــرا لك … لك مني أجمل تحية .

merciiiiiiiiiiiiiii

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اللغة الفرنسية السنة الرابعة متوسط

les droits et les devoirs de l’enfant

l

es droits et les devoirs de l’enfant
Même si la famille est un espace privé* la loi intervient dans les relations familiales* notamment en cas de conflits. Nous y sommes tous soumis* adultes comme enfants. Le terme juridique qui donne aux parents et aux enfants des droits et des devoirs est celui d’autorité parentale. L’idée centrale est le respect mutuel* dans la lignée des Droits de l’Homme qui garantit et protège les libertés individuelles et collectives. Selon les termes de la loi* c’est l’enfant qui est d’abord concerné* devant « à tout âge honneur et respect à ses père et mère » ; quant aux parents* la loi leur accorde un ensemble de droits et de devoirs qui ont pour finalité l’intérêt de l’enfant.
Devoirs et droits des parents
Les parents se doivent d’abord de protéger leur enfant : ils assurent sa sécurité* sa santé* sa moralité et son éducation. Les parents ont l’obligation d’héberger leur enfant (ils ne peuvent donc pas mettre à la porte leur enfant mineur) et celle de subvenir à ses besoins même après 18 ans si l’enfant poursuit ses études (ce qui signifie le nourrir et l’habiller* mais pas forcément lui fournir de l’argent de poche). Les parents ont aussi l’obligation d’envoyer leur enfant à l’école* et même s’ils conservent le droit de choisir l’établissement* ils doivent s’efforcer d’associer l’enfant aux décisions qui le concernent* dans la mesure cependant où son âge et sa maturité le permettent.
Ces devoirs impliquent alors des droits : les parents ont un droit de garde et de surveillance* donc un mineur doit habiter chez ses parents et se mettre d’accord avec eux concernant ses éventuelles sorties. Leur devoir d’éducation leur donne aussi un droit de punition* mais dans certaines limites : ils peuvent* par exemple* donner une gifle* mais pas passer l’enfant à tabac.
Protéger l’enfant :
L’autorité parentale est d’abord là pour protéger l’enfant* par exemple de la responsabilité de certains actes* comme dans un contrat. L’enfant a le droit de demander des moyens* notamment financiers* pour vivre* être nourri et entretenu. Il a aussi le droit de donner son avis sur son éducation* et même si les parents sont ceux qui prennent les décisions* dans certains cas* comme pour marier une jeune fille de 16 ans* la loi demande spécifiquement le consentement du mineur.
En contrepartie* l’autorité parentale donne des devoirs aux enfants : outre ceux d’honneur et de respect* l’enfant est soumis à l’obligation d’aide* ce qui signifie qu’il doit subvenir aux besoins de ses parents s’ils sont dans le besoin au moment de sa majorité. L’enfant a aussi l’obligation d’habiter chez ses parents ; donc quand un mineur est en fugue* la police peut être obligée par les parents de ramener l’enfant chez lui* d’où la nécessité de s’adresser à un adulte de confiance en cas de problèmes familiaux.
Les droits des enfants :
Tu as le droit de vivre* l’Etat doit te protéger* tu as le droit de bénéficier des meilleurs soins possibles.
Tu as le droit d’avoir un nom et une nationalité dès ta naissance.
Ta vie privée doit être protégée.
Tu dois pouvoir aller à l’école. Cet enseignement est gratuit et obligatoire. La discipline scolaire doit te respecter* tu ne dois donc pas être maltraité. L’éducation doit te préparer à vivre dans un esprit de paix et dans le respect des autres.
Tes parents ont la responsabilité de t’élever.
Tu dois avoir du temps pour le repos* le jeu et les activités culturelles.
Tu ne dois pas être séparé de ta famille* sauf si un tribunal le décide dans ton intérêt. Si tes parents sont séparés* tu dois pouvoir aller chez l’un et l’autre. L’Etat doit veiller à la protection des enfants sans parents et s’assurer que les adoptions se font dans de bonnes conditions.
Tu dois être protégé contre les brutalités physiques ou mentales* la négligence ou l’abandon* et aussi contre toute forme de violence sexuelle. En cas de problème* tu devras être secouru et aidé par des organismes spécialisés.
L’Etat doit te protéger contre tout travail nuisible à ta santé ou à ton éducation et contre l’usage et le trafic des drogues.
Aucun enfant ne doit participer à des guerres. Ceux qui ont été victimes de conflits – qui ont été* par exemple* prisonniers – doivent bénéficier de secours et de soins. Ceux qui ont dû quitter leur pays doivent pouvoir trouver refuge dans un autre pays.
Tu as le droit à la liberté de pensée* d’opinion et de religion. Tu as le droit* dès un certain âge* de donner ton avis sur des décisions qui concernent ta vie et ton avenir. Tu as le droit de participer aux activités d’une association.
Si tu appartiens à une population minoritaire* tu as le droit d’avoir ta propre vie culturelle* de pratiquer ta religion et de parler ta propre langue.
Tu est membre à part entière d’une famille et un grand nombre de tes droits sont exercés par tes parents ou avec leur assistance. Tes parents* comme tes éducateurs* ont un rôle de guides pendant ton enfance et ton adolescence.
Etre un enfant* ce n’est pas encore être un adulte* ni même un citoyen (tu le deviendras à ta majorité). En exerçant tes droits personnels* tu dois respecter les droits des autres et ceux de la société à laquelle tu appartiens.
Tu réponds de tes actes* mais comme cela est prévu pour les enfants.
On est donc loin de “l’enfant roi” qui n’existe toujours que dans les contes … pour enfants
Les devoirs des enfants :
Un peu de sérieux…
1. Tu respecteras les autres.
2. Tu ne gaspilleras pas la nourriture et tu ne détériorations pas les habitations.
3. Tu auras une bonne hygiène et tu prendras soin de ton corps.
4. Tu respecteras les handicapés mentaux et physiques.
5. Tu respecteras l’environnement.
Et on ajoute pour le plaisir :
Et un peu d’humour…
6. Tu respecteras tes parents et tu te conformeras aux lois qui régissent la société.
7. Tu travailleras à l’école et tu respecteras les enseignants.
8. Tu ne brutaliseras pas les autres par des coups ou des mots blessants.
9. Tu n’utiliseras pas les autres dans le seul but de ton bien-être.
10. Tu iras jusqu’au bout de tes choix et de tes volontés.
11. Tu respecteras l’avis des autres et d’accepter des choix différents des tiens.
12. Tu seras fidèle envers tes amis.
Comportement négatif :
1. Ne sèche pas un cours : sèche toute la journée.
3. Ne pousse pas dans les couloirs : dans les escaliers* ça fait plus mal.
4. N’emprunte pas à tes amis : vole-les.
5. Ne copie jamais : décalque.
6. Ne fais pas de croche-pieds aux autres élèves : attends les profs.
7. Ne déchire pas tes livres : brûle-les* c’est plus excitant !
8. Ne parle pas en classe : crie* tu obtiendras plus d’attention.
9. Ne dépasse jamais 1 ou 2 personne(s) dans la file de la cantine : dépasse toute la file* c’est mieux.
10. Si un prof se tue à t’expliquer quelque chose : Sois patient et laisse-le mourir.
DES DROITS GAGES PAR DES DEVOIRS
Ici encore* une lecture attentive de nos codes a raison de ceux qui estiment que l’enfant n’a guère de devoirs dans notre société.
On relève trois types de contraintes
1-Une obligation générale d’obéissance et de respect
2-Une obligation de rendre compte pur les faits délictueux accomplis
3 – Une obligation de réparer le préjudice causé
Pour autant avant d’aller plus loin dans la démonstration* il faut s’attaquer à un vrai faux débat. On a le sentiment lorsque l’on parle des droits des enfants que certains auraient le projet d’une société où l’enfant* chose parfaite et voué à toutes les dévotions serait roi et omnipuissant. Libres à ceux qui s’infliger subir une quelconque dictature des enfants. le débat n’est pas là et il n’est pas d’aujourd’hui.
En droit dès la naissance – en vérité dès la conception – l’individu a une personnalité juridique et donc est titulaire de droits et dirons nous de devoirs. La question qui nous est posée est double :
– derrière l’ensemble des dispositions qui composent le statut juridique de l’enfant adossées au sacro-saint concept d’intérêt de l’enfant y a-t-il vraiment un ensemble qui cadre la spécificité de l’enfance ? Souvent on peut en douter quand c’est plus l’intérêt des adultes qui gouverne? Par exemple le dispositif du double nom qui nous est présenté comme un enjeu pour les enfants l’est d’abord pour les parents qui seulent peuvent faire les démarches pour le demander pour leur progéniture !
– la deuxième question est de savoir dans quelle mesure les droits de l’enfant qui sont généralement exercé et surveillée par les parents ou tuteur peuvent être directement être agi par l’intéressé. En d’autre termes l’incapacité juridique de l’enfant est-elle absolu ? On sait que non. On s’est déplacée dans la période moderne la limite puisque nul ignore que les enfants – mineurs de 18 ans s’entend – d’aujourd’hui ont plus de compétences sociales que dans le passé en n’oubliant pas que les généraux voire les maréchaux d’Empire étaient à peine majeurs !
1 – Une obligation générale d’obéissance de respect
L’enfant doit obéissance à ses parents ou tuteurs jusqu’à sa majorité ou son émancipation (article 371-1 cc). Ce pouvoir qui s’exerce sur lui* et dans son intérêt* ne supporte pas de limites tant qu’il ne met pas en danger physiques ou moral l’enfant.
Il faut surtout rappeler qu’aux termes de l’article 372 du cc* ” à tout âge* l’enfant doit honneur et respect à ses parents”.
Cet article hautement symbolique n’a d’autre sanction que morale. C’est l’exemple même de la norme sociale “montée” en 1804 par Napoléon – ou sous son autorité – au rang de la loi civile pour lui donner toute sa force. Elle est également un vrai miroir de l’idée que la société se fait des enfants.
On relèvera – et chacun appréciera – que le Parlement lors du vote de la loi du 8 janvier 1993 n’a pas saisi l’occasion qui lui était fournie de mettre les pendules à l’heure en consacrant la réciprocité du lien entre enfants et parents. Etait-il vraiment impossible d’adopter une nouvelle rédaction de l’article 371-1 qui aurait été la suivante : “Ascendants et descendants se doivent respectivement respect et solidarité.”?
Cette formulation montrerait que la vie familiale ne peut pas se résumer dans des rapports entre des parents adultes et des enfants mineurs en situation de dépendance.
La réforme était aisée et pouvait permettre de remettre les pendules à l’heure sur la place reconnue aux enfants et les relations au sein de la famille. Apparemment l’idée napoléonienne ne choque pas les représentants du peuple.
2 – Une responsabilité pénale dès l’âge de raison
L’enfant mineur peut engagé très tôt – bien plus tôt qu’on ne l’imagine communément quand on interroge autour de soi – sa responsabilité pénale pour les faits qu’il aura pu commettre.
On a singulièrement aménagé la réponse sociale à la délinquance juvénile en privilégiant en 1945 l’éducation sur la prévention. C’est même un droit à éducation qui a été affirmé comme chance de sortir de la délinquance. (voir Fiche n° sur l’incarcération).
Néanmoins* dès l’âge de raison* l’enfant délinquant pourra faire l’objet d’une condamnation pénale inscrite à son casier judiciaire. Certes aucune sanction pénale ne peut être prononcée à son encontre pour des faits commis avant l’âge de 13 ans. Seules des mesures dites éducatives sont ouvertes cet âge : admonestation* liberté surveillée* remise au père ou à la mère* placement en institution.
En d’autres termes* quand certains pays proches du notre comme la Belgique estiment que l’enfant est totalement irresponsable faute de lucidité et qu’il ne peut donc pas commettre le moindre délit faute de pouvoir distinguer le bien et le mal* le permis et l’interdit* nous avons un système plus hybride. L’enfant n’est pas totalement irresponsable; il a une responsabilité atténuée.
La Convention des Nations unies voudrait que sous un certain âge aucune poursuite donc aucune condamnation ne soit possible contre un enfant (art. 40 – 3). La communauté internationale se méfie d’une justice qui n’est souvent qu’une parodie et elle veut éviter le plus souvent le contact des jeunes avec ce type d’institution. C’est une approche anglo-saxonne qui domine les rédacteurs de la Convention sur ce point. Il est certain qu’en France* nous avons une autre approche de l’intervention judiciaire.
Il avait été projeté en 1991 sous le ministère Nallet de réformer l’ordonnance du 2 février 1945 pour se mettre justement en conformité avec ce passage de la Convention en fixant un seuil d’âge de 12 ans sous lequel* en tout état de cause* des poursuites pénales ne seraient pas possibles.
Cette disposition prenait d’autant plus de sens dans une période où l’on avance un rajeunissement de la délinquance juvénile. Il faut certainement* comme la Convention y incite* inventer d’autres formes de réaction sociale que judiciaires. Surtout* comment donner à tous les enfants de France la possibilité d’intégrer les règles du jeu social* pas celles du quartier et de la rue* mais celles de la République.
La réforme Nallet a avorté; la réforme Toubon a été adoptée. La réforme de l’ordonnance du 2 février 1945 en date du 1er juillet 1996 ne va pas dans ce sens. On peut même craindre d’elle qu’elle n’accentue la répression à l’égard de certains jeunes qualifiés de multirécidivistes.
Rien n’empêche cependant de développer des démarches évitant une judiciarisation de la délinquance des plus jeunes. La pratique nouvelle des parquets s’inscrit dans cette démarche. Elle reste une intervention judiciaire* mais pas juridictionnelle.
3-Une large responsabilité civile
Sur le terrain de la responsabilité civile* l’enfant peut être reconnu très tôt responsable de ses faits et des choses qu’il a sous sa garde* dont il à l’usage* la direction et le contrôle.
Peu importe que son jeune âge l’ait empêché d’être conscient de ses gestes ou l’ait privé de discernement. Les juges du fond ne sont pas tenus de vérifier si le mineur était capable de discerner les conséquences de son acte.
A priori* les parents sont tenus de supporter les conséquences des actes dommageables commis par leur enfant. Le Code civil (1384 al. 6) leur fait supporter une présomption de responsabilité qui découle des pouvoirs d’autorité dont ils disposent sur l’enfant et de la mission éducative qu’ils assurent. Ils ne pourront s’en abstraire qu’en établissant qu’ils n’ont pas commis de faute dans l’éducation ou dans la surveillance de leur enfant.
Ainsi* les tribunaux admettent que les parents font la preuve de leur absence de faute quand ils démontrent qu’ils n’avaient pas la possibilité d’empêcher le fait dommageable. Ce sera le cas quand l’enfant cause* même volontairement* un préjudice à un camarade à l’occasion d’un jeu normal pour leur âge* se déroulant dans des conditions normales* par exemple* un jeu de ballon. Cette preuve est difficile à apporter.
Dans certains cas* les juges estiment que les parents s’exonèrent partiellement de leur responsabilité. Ils seront alors tenus de réparer le dommage causé par leur enfant à la hauteur d’un pourcentage fixé par le tribunal. Il est ainsi fréquent que les parents des deux enfants en cause supportent pour moitié la responsabilité* comme dans ce cas d’un enfant qui eut l’œil crevé par le geste malencontreux de son camarade alors même que le jouet avait été acheté par son propre père qui avait négligé de surveiller les deux enfants.
Si les parents s’exonèrent* l’enfant supportera alors les conséquences dommageables de ses actes sur son propre patrimoine. La victime pourra être amenée à attendre que l’auteur de son préjudice ait les moyens de l’indemniser.
Le jeu des assurances – notamment l’assurance chef de famille liée à celle de l’habitation et l’as su -rance scolaire – protégera fréquemment l’enfant du coût de l’indemnisation* mais pour un accident de la circulation* en cas d’absence d’assurance* le fonds de solidarité paiera puis se retournera contre le mineur.
Par ailleurs* la Cour d’appel de Paris a rappelé en septembre 1994 que l’assureur des parents doit assumer les conséquences civiles dommageables pour eux des actes commis par leur enfant* y compris des actes délictueux volontaires.
En l’espèce* un élève avait commis une agression avec un cutter lors d’un cours de dessin. La Cour a estimé que “le comportement impulsif et agressif” de l’agresseur était imputable aux parents qui ont “manifestement négligé de lui inculquer avec toute l’instance nécessaire” des principes de prudence .Leur responsabilité civile se trouve donc engagée. Pour autant* ils n’ont pas commis de faute intentionnelle. Leur assurance doit donc les couvrir.
Nos principes sont ainsi faits que l’enfant mineur peut être tenu responsable civilement de ses actes et en supporter les conséquences par delà sa majorité dans l’intérêt même de la victime.
Les droits et les devoirs de l’enfant
“Pas de droits sans devoirs”. “Avant de réclamer plus de droits* qu’ils apprennent d’abord qu’ils ont aussi des devoirs !” entend-on dire de-ci de-là.
“On ne peut parler de droits* sans parler des devoirs“. “Les révolutionnaires de 89 n’ont-ils pas proclamés que les droits des uns s’arrêtent là où commencent les droits d’autrui“ ? Nous rappelle-t-on opportunément. Tandis que d’aucuns ajoutent volontiers : “Avant d’accorder de nouveaux droits aux jeunes* il faudrait d’abord qu’ils respectent les droits d’autrui !“.
Bref* dans ces propositions* il y a un peu de l’idée que “les droits de l’homme ça se mérite”. Les droits* ça se mérite. Pour en bénéficier* il faut préalablement honorer ses devoirs. Ainsi voit-on fleurir des “Déclarations des droits et des devoirs du lycéen”* voire des “Déclaration des droits et devoirs du citoyen” en guise de projet de réforme de la Déclaration française des droits de l’homme et du citoyen ou d’appel à la révision de la Déclaration universelle des droits de l’homme.
Quoi de plus censé* en effet* que de mettre en parallèle droits et devoirs ? Quoi de plus logique. Quoi de plus élémentaire* du simple bon sens en somme : pas de droits sans devoirs !
Et quoi de plus trompeur* cependant … Car mettre sur le même plan droits et devoirs* cela ne vaut que dans la vie pratique : j’ai payé ma cotisation à l’association* donc j’ai le droit de participer aux votes lors de l’assemblée générale. Tu n’a pas payé ta cotisation* donc tu n’a pas le droit de vote. Ou bien : j’ai le droit de m’exprimer* mais j’ai le devoir de laisser s’exprimer les autres. C’est le B.A.-BA d’une vie en société. C’est aussi simple que cela.
On ne peut pas raisonner de même lorsqu’il s’agit des droits de l’homme* en tant que droits inaliénables de l’être humain ou droits naturels de l’être humain. Il en est de même des droits de l’enfant* au nombre desquels figurent le droit d’association.
Tout être humain jouit de droits inaliénables* du fait même de sa naissance. Il jouit de ces droits fondamentaux* indépendamment de son origine* de sa condition* sa nationalité* sa religion ou son âge. Il dispose du droit fondamental d’exister* du droit d’avoir un nom et une identité* de penser* de s’exprimer* de pratiquer ou non une religion etc. Un enfant dispose du droit de préserver des liens avec ses parents et aussi du droit naturel de s’associer pacifiquement avec ses semblables.
Seul l’exercice de ces droits peut être réglementé ou limité par la société et l’Etat* et conditionné au respect de certains devoirs.
Ce serait nier l’humanité d’une personne que de conditionner la reconnaissance de ses droits inaliénables à l’obéissance préalable des règles pratiques de la vie en société* avec les devoirs que celle-ci comporte* même si* évidemment* la société est en droit d’exiger de ses membres qu’ils respectent les règles sociales et que l’Etat a le droit d’en réprimer la violation. On ne se situe pas au même niveau.


السلام عليكم ورحمة الله وبركاته

شـكــ وبارك الله فيك ـــرا لك … لك مني أجمل تحية .

شـكــ وبارك الله فيك ـــرا لك … لك مني أجمل تحية .

شكرا جحزيلا على الموضوع الجميل

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production p 156

stp na7tag la production p156 stppp madohali redwa nmadhaaaaaتعليم_الجزائرتعليم_الجزائر

ماكانش قاع تعبير.

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ساعدوني في حل هذا التمرين

compléte la phase ci-dessous par deux de ces verbes :apprendre , alerter , former , convaincre
l’auteur de ce texte veut nous _______ que la méditerranée est malade et nous _____ sur la gravité de la situation

تعليم_الجزائرتعليم_الجزائر plz


help تعليم_الجزائر

help mee تعليم_الجزائر

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موضوع في مادة علوم الطبيعة والحياة للسنة الرابعة متوسط

التمرين الأول : ( 6 نقاط )
– ضع صحيحة للعبارات الصحيحة وصحح الخاطئة مما يلي :
أ- يتحول النشاء إلى سكر شعير بواسطة خميرة الليباز.
ب- تتكون بشرة الجلد من طبقة من الخلايا الميتة .
ج- لكل مستقبل حسي منبهات يستجيب لها .
د- تبدو الرسالة العصبية كإشارات كهربائية .
ه- تنتمي الفطريات المجهرية إلى عالم الحيوان.
و- يمر الدم بالكبد لتصفيته من الفضلات السائلة .
ك- للمخ دور في حدوث الفعل المنعكس الفطري .
ل- الأدمة طبقة حية بها الكثير من النهايات العصبية .
الوضعية المستهدفة: ( 8 نقاط )
أصيب أخوان(أ،ب) في حادث مرور نتيجة للإفراط في السرعة؛ الشخص (أ) فقد وعيه وينزف دما أما أخوه (ب)
فكان واعيا لكن ينزف أيضا ، عند نقلهما للعيادة القريبة أسعفا وحقنا على عجل بدم واحد لتعويض ما نقص من دمهما
لوحظ بعد مدة إعادة الشخص (أ) وعيه وظهر عليه التحسن العام ، بينما الشخص (ب) فقد وعيه وساءت حالته
. (b) وعرف فيما بعد أن فصيلة دم هذا الشخص هي
-1 حدد سبب تدهور حالة هذا الشخص بعد إسعافه، وحقنه بالدم ؛ مفسرا ما حدث على مستوى العضوية .
-2 حدد الأشخاص الذين يحق لهم التبرع بدمهم للشخص (ب)هل توجد علاقة بين نقص الدم وفقد الوعي.
-3 قدم نصيحة لمسعفي حاقني الدم.

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مساعدة .

propjet sur la nature

mmmmmmmmmmmmmmmmmmm

ارجو الاستفادة منه
لا تبخلوا بالردود
http://www.gulfup.com/?jpuo5T

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ساعدوني

ارجوكم اخوتي طلاب الرابعة متوسط مادة الفرنسية اريد ان تكتبو لي الاغنية ميسيو تولموند التي درسناها

voila stha f google je sais pas ila hiya ou non
Parole de Monsieur Toulmonde:
Voyez-vous, Monsieur… Voyez-vous, Monsieur…

Pourquoi, dans les rivières,
On trouve des chaussures
ہ l’orée des forêts
Des montagnes d’ordures
Des usines qui crachent
Des tonnes d’hydrocarbures ?

Comment font les oiseaux
Coquillages et poissons
Quand ils ont sur la peau
Des kilos de goudron
Si la mer n’est plus bleue
Mais marron ?

{Refrain:}
Monsieur Toulmonde
Qu’avons-nous fait de…
Monsieur Toulmonde
Qu’avons-nous fait de la planète bleue ?

On coupe dans la brousse
Les arbres d’Amazonie
Un nuage qui pousse
S’est installé sur Paris
Parfois, quand je respire,
Je tousse

Les neiges ont fondu
Au Kilimandjaro
On dirait que rien ne va plus
Car certains animaux
Déjà n’existent plus
Qu’en photo

Notre Terre est sur les rotules
Faudrait voir à se calmer
Miss Météo fabule
Et se met à délirer
Annonce la canicule
Pour janvier

{au Refrain}

Si Monsieur Toulmonde voulait bien,
On peut toujours rêver,
Voir un petit peu plus loin
Que le bout de son nez
ةviter à tout prix
Que la plus belle des étoiles
Ne finisse sa vie
En poubelle générale

{x2:}
Voyez-vous, Monsieur,
J’ai mal au monde
On pourrait faire mieux
ہ chaque seconde
Voyez-vous, Monsieur,
J’ai mal au monde
Vous fermez les yeux
Mais je l’entends qui gronde

{au Refrain, x2}

Voyez-vous, Monsieur… {x5}



B.
Projet 1 / Séquen
ce 1
Compréhension de l’oral
Chanson ou texte à faire écouter
:
Monsieur Toulmonde
Voyez

vous, Monsieur… Voyez

vous, Monsieur…
Pourquoi, dans les rivières,
On trouve des chaussures
ہ l’orée des forêts
Des montagnes d’ordures
Des usines qui crachent
Des tonnes d’hydrocarbures ?
Comment font les oiseaux
Coquillages et poissons
Quand ils ont sur la peau
Des kilos de goudron
Si la mer n’est plus bleue
Mais marron ?
{Refrain:}
Monsieur Toulmonde
Qu’avons

nous fait de…
Monsieur Toulmonde
Qu’avons

nous
fait de la planète bleue ?
On coupe dans la brousse
Les arbres d’Amazonie
Un nuage qui pousse
S’est installé sur Paris
Parfois, quand je respire,
Je tousse
Les neiges ont fondu
Au Kilimandjaro
On dirait que rien ne va plus
Car certains animaux
Déjà n’ex
istent plus
Qu’en photo
Notre Terre est sur les rotules
Faudrait voir à se calmer
Miss Météo fabule
Et se met à délirer
Annonce la canicule
Pour janvier
{au Refrain}
Si Monsieur Toulmonde voulait bien,
On peut toujours rêver,
Voir un petit peu plus lo
in
Que le bout de son nez
ةviter à tout prix
Que la plus belle des étoiles
Ne finisse sa vie
En poubelle générale
{x2:}
Voyez

vous, Monsieur,
J’ai mal au monde
On pourrait faire mieux
ہ chaque seconde
Voyez

vous, Monsieur,
J’ai mal au monde
Vous fermez
les yeux
Mais je l’entends qui gronde
{au Refrain, x2}
Voyez

vous, Monsieur… {x5}


شككككككككككككككككككراا جزيلا لكم حقا انتم خير اصحاب وفقكم الله

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حقوق وواجبات الاطفال بالفرنسية

مرحبا حبيت حطلكم هذا الموضوع ارجو الا تبخلوا بردودكم

– مقدمة. Introduction
– استغلال الأطفال في العالم.Exploitation des enfants dans le monde
– نتائج هذا الاستغلال على الطفل والمجتمع Les conséquences
– حقوق الطفل.Droits de l’enfant
– واجبات الطفل. Devoirs de l’enfant
– خاتمة. Conclusion
——–عنوان المشروع
DROITS ET DEVOIRS DE L’ENFANT

[COLOR="rgb(255* 0* 255)"]Introduction[/COLOR]
Le mot enfant nous vient du latin "infans" qui signifie : "celui qui ne parle pas." On voit déjà fidèlement se refléter dans cette origine du mot une conception bien particulière de l’enfant : "soit sage et tais toi !"
Ainsi les pères gaulois* avaient droit de vie et de mort sur les enfants.
Les lois romaines autorisaient les hommes à accepter ou refuser un enfant à sa naissance.
Se sont les philosophes du XVIIIe siècle qui fondèrent notre réflexion actuelle de l’éducation et l’épanouissement de chacun.
Arrive alors la Révolution Française avec l’abolition des privilèges (nuit du 4 août 1789) et surtout l’adoption* le 26 août de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen.
En ce qui concerne les droits des enfants* la Révolution laisse aussi une trace indélébile. Les relations parents/enfants évolue et la mère y prend toute sa place
Le droit de l’enfant à l’instruction a pour obilt de lui garantir* d’une part* l’acquisition des instruments fondamentaux du savoir* des connaissances de base* des éléments de la culture générale (…) et d’autre part* l’éducation lui permettant de développer sa personnalité* d’élever son niveau de formation initiale et continue* de s’insérer dans la vie sociale et professionnelle et d’exercer sa citoyenneté…

L’exploitation des enfants dans le monde : un problème toujours d’actualité
Dans le monde plus de 250 millions d’enfants entre 5 et 14 ans sont contraints au travail. Ils vivent pour la majorité dans les pays du Tiers-monde où parfois la scolarité n’est pas obligatoire par manque de développement de certains pays. Leurs secteurs d’emploi sont très variés et les conditions de travails sont difficiles et dangereuses. Dans certains cas les enfants travaillent plus que leurs parents et ne gagnent que la moitié de leur salaire. Ils sont d’ailleurs exposés à de dangereux produits comme les produits chimique ou les pesticides. Le marxisme* par le Manifeste du parti communiste* fut l’un des premiers courants politiques à prôner l’interdiction du travail des enfants. La législation du travail des enfants protègent et règlemente le travail des enfants. Cette législation proclame un âge minimum fixé pour l’admission à l’emploi c’est-à-dire à environ 15 ans* une réglementation appropriée des horaires de travail et des conditions d’emploi* un nombre d’année minimum où l’enfant doit obligatoirement suivre un programme scolaire* que tous est une éducation. L’enfant doit avoir son temps de repos et de loisir. L’exploitation de l’enfant peut nuire à sa santé aussi bien morale que physique et à une bonne croissance. Cette législation est souvent bafouée au niveau des horaires de travail* du travail de nuit et sur le non-respect de la durée des congés ainsi qu’à la rémunération.

[COLOR="rgb(255* 0* 255)"]Quelles conséquences à ça??i[/COLOR]
Des enfants analphabètes n’ayant pas à l’école* n’ayant pas d’éducation et mettant en danger leur vie pour faire survivre leur famille. Leur croissance est perturbé* leur santé morale et physique… La prostitution est dangereuse et les rapports sexuels qui sont le plus souvent non protéger donne suite à de grave maladie mortelle.
Dans les armées de guerre il risque de se faire abattre…
Certains se battent et vise l’élimination progressive du travail des enfants et réclame le droit au travail pour les enfants dans de bonnes conditions.
En 1998* La Marche Mondiale a été créée à l’initiative d’une ONG indienne qui avait pour but de sensibiliser les populations du monde entier sur cette exploitation d’enfants dans le monde du travail.
Il y aurait beaucoup trop de choses à dire en détaillant vraiment le sujet* tellement de pays touchés et des millions d’enfants concernés

[COLOR="rgb(255* 0* 255)"]Droits de l’enfant[/COLOR]
Tout enfant a un droit inhérent à la vie* et les États assurent au maximum la survie et le développement de l’enfant.
Tout enfant a droit à un nom et à une nationalité dès sa naissance.
Lorsque les tribunaux* les institutions de protection sociale ou les autorités administratives prennent des décisions qui concernent les enfants* la considération primordiale doit toujours être l’intérêt supérieur de l’enfant* l’opinion de l’enfant doit être dûment prise en considération.
Les États s’engagent à garantir à chaque enfant la jouissance de ses pleins droits sans discrimination ni distinction d’aucune sorte. En particulier* les filles doivent jouir des mêmes droits que les garçons.
Les États prévoient pour les enfants qui sont sans famille une protection de remplacement convenable. La procédure d’adoption doit être soigneusement réglementée et les États s’efforcent de conclure des accords internationaux pour assurer des garanties et la légalité de la procédure lorsque les parents adoptifs ont l’intention d’emmener l’enfant à l’étranger.
Les enfants handicapés ont droit à un traitement* une éducation et des soins spéciaux.
Les enfants ne doivent pas être séparés de leurs parents sauf en vertu d’une par les autorités compétentes dans l’intérêt des enfants.
décision prise Les États doivent faciliter la réunification des familles en autorisant l’entrée ou la sortie de leur territoire.
La responsabilité d’élever l’enfant incombe d’abord aux parents* mais les États leur accordent l’aide appropriée et assurent la mise en place d’institutions qui veillent au bien-être des enfants.
Les États* la collectivité et les parents protègent les enfants contre les brutalités physiques ou mentales* la négligence ou l’abandon y compris contre la violence et l’exploitation sexuelle.
Les États protègent les enfants contre l’usage illicite des drogues et contre l’utilisation des enfants pour la production ou le trafic de drogues.
Les enfants appartenant à des populations minoritaires ou autochtones pourront avoir leur propre vie culturelle* pratiquer leur religion et employer leur langue librement.
Tout doit être mis en oeuvre pour empêcher l’enlèvement et la traite des enfants.
L’enfant a le droit de jouir du meilleur état de santé possible. Les États assurent l’accès aux soins médicaux à tous les enfants* en mettant l’accent sur la prévention* l’éducation sanitaire et la réduction de la mortalité infantile.
L’enseignement primaire est gratuit et obligatoire* la discipline scolaire doit respecter la dignité de l’enfant.
L’éducation a pour but de préparer l’enfant à la vie dans un esprit de compréhension* de paix et de tolérance.
Les enfants doivent avoir du temps pour le repos et le jeu ainsi que l’accès aux activités culturelles et artistiques dans des conditions d’égalité.
Les États protègent l’enfant contre l’exploitation économique et tout travail susceptible de compromettre l’éducation ou de nuire à leur santé ou leur bien-être.
Aucun enfant de moins de 15 ans ne peut participer à des hostilités* les enfants touchés par un conflit armé doivent bénéficier d’une protection spéciale.
Les enfants victimes de mauvais traitements* de négligence ou ayant été mis en détention doivent bénéficier d’un traitement ou d’une formation appropriée en vue de leur guérison et de leur réadaptation.
Ni la peine capitale ni l’emprisonnement à vie ne doivent être prononcés pour les infractions commises par des personnes âgées de moins de 18 ans.
Les enfants impliqués dans des infractions à la loi pénale ont droit à un traitement qui contribue à développer leur sens de la dignité et de la valeur personnelle et vise à faciliter leur réinsertion sociale.
Les enfants en détention doivent être séparés des adultes* ils ne doivent subir ni tortures ni traitements cruels ou dégradants.
Les États doivent faire largement connaître les droits énoncés dans la Convention* aux adultes comme aux enfants.

5. [COLOR="rgb(255* 0* 255)"]Devoirs l’enfant :
[/COLOR]Les devoirs* c’est ce de que nous sommes obligés de faire et que nous devons accepter de faire.
Nous avons le devoir de bien travailler à l’école* d’être polis avec notre entourage* de participer aux travaux de la maison et de la communité* de respecter la loi* de respecter les autres et de protéger notre environnement.
Et des droits de l’enfant:
• Un enfant doit apprendre à respecter ses parents et ses maîtres.
• L’obéissance est un apprentissage.
• Il doit savoir écouter et respecter la parole de l’autre.
• Il doit respecter les différences de l’autre.
• Il doit apprendre à solutionner les problèmes sans violence.
• Il doit donner une bonne image de soi (Tenue* hygiène).
• Il doit participer et s’investir dans la formation humaine* sociale et professionnelle.
• Il doit mériter la confiance en évitant de tricher* de mentir ou de se mentir.
• Il ne doit pas fumer ni droguer.
• Il ne gaspille pas la nourriture et il ne détériore pas les lieux publics.
• Il doit respecter les handicapés mentaux et physiques.
• Il ne doit pas brutaliser les autres par des coups et des mots blessants.
• Il n’utiliserait pas les autres dans le but de son bien-être.
• Il serait fidèle envers ses amis.
• Il a le devoir d’être à l’heure et de justifier son absence au retard.
• Il a le devoir de se présenter auprès des responsables.
• L’élève doit faire preuve d’assiduité et de ponctualité.
6. Conclusion :
Tu es membre à part entière d’une famille et un grand nombre de tes droits sont exercés par tes parents ou avec leur assistance. Tes parents* comme tes éducateurs* ont un rôle de guides pendant ton enfance et ton adolescence.
Etre un enfant* ce n’est pas encore être un adulte* ni même un citoyen (tu le deviendras à ta majorité). En exerçant tes droits personnels* tu dois respecter les droits des autres et ceux de la société à laquelle tu appartiens.
Tu réponds de tes actes* mais comme cela est prévu pour les enfants.


السلام عليكم ورحمة الله وبركاته .

السلام عليكم ورحمة الله وبركاته شـكــ وبارك الله فيك ـــرا لك …

شكرا على الافادة

شـكــ وبارك الله فيك ـــرا لك … لك مني أجمل تحية .