الفكرة العامة: دعوة الى رعاية حقوق الاطفال و عدم ظلمهم
المغزى العام: قال صلى الله عليه وسلم: *ارحموا من في الارض يرحمكم من في السماء*
ارجوا اني ساعدتكم في التحضير و شكرا
– مقدمة. Introduction
– استغلال الأطفال في العالم.Exploitation des enfants dans le monde
– نتائج هذا الاستغلال على الطفل والمجتمع Les conséquences
– حقوق الطفل.Droits de l’enfant
– واجبات الطفل. Devoirs de l’enfant
– خاتمة. Conclusion
——–عنوان المشروع
DROITS ET DEVOIRS DE L’ENFANT
[COLOR="rgb(255* 0* 255)"]Introduction[/COLOR]
Le mot enfant nous vient du latin "infans" qui signifie : "celui qui ne parle pas." On voit déjà fidèlement se refléter dans cette origine du mot une conception bien particulière de l’enfant : "soit sage et tais toi !"
Ainsi les pères gaulois* avaient droit de vie et de mort sur les enfants.
Les lois romaines autorisaient les hommes à accepter ou refuser un enfant à sa naissance.
Se sont les philosophes du XVIIIe siècle qui fondèrent notre réflexion actuelle de l’éducation et l’épanouissement de chacun.
Arrive alors la Révolution Française avec l’abolition des privilèges (nuit du 4 août 1789) et surtout l’adoption* le 26 août de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen.
En ce qui concerne les droits des enfants* la Révolution laisse aussi une trace indélébile. Les relations parents/enfants évolue et la mère y prend toute sa place
Le droit de l’enfant à l’instruction a pour obilt de lui garantir* d’une part* l’acquisition des instruments fondamentaux du savoir* des connaissances de base* des éléments de la culture générale (…) et d’autre part* l’éducation lui permettant de développer sa personnalité* d’élever son niveau de formation initiale et continue* de s’insérer dans la vie sociale et professionnelle et d’exercer sa citoyenneté…
L’exploitation des enfants dans le monde : un problème toujours d’actualité
Dans le monde plus de 250 millions d’enfants entre 5 et 14 ans sont contraints au travail. Ils vivent pour la majorité dans les pays du Tiers-monde où parfois la scolarité n’est pas obligatoire par manque de développement de certains pays. Leurs secteurs d’emploi sont très variés et les conditions de travails sont difficiles et dangereuses. Dans certains cas les enfants travaillent plus que leurs parents et ne gagnent que la moitié de leur salaire. Ils sont d’ailleurs exposés à de dangereux produits comme les produits chimique ou les pesticides. Le marxisme* par le Manifeste du parti communiste* fut l’un des premiers courants politiques à prôner l’interdiction du travail des enfants. La législation du travail des enfants protègent et règlemente le travail des enfants. Cette législation proclame un âge minimum fixé pour l’admission à l’emploi c’est-à-dire à environ 15 ans* une réglementation appropriée des horaires de travail et des conditions d’emploi* un nombre d’année minimum où l’enfant doit obligatoirement suivre un programme scolaire* que tous est une éducation. L’enfant doit avoir son temps de repos et de loisir. L’exploitation de l’enfant peut nuire à sa santé aussi bien morale que physique et à une bonne croissance. Cette législation est souvent bafouée au niveau des horaires de travail* du travail de nuit et sur le non-respect de la durée des congés ainsi qu’à la rémunération.
[COLOR="rgb(255* 0* 255)"]Quelles conséquences à ça??i[/COLOR]
Des enfants analphabètes n’ayant pas à l’école* n’ayant pas d’éducation et mettant en danger leur vie pour faire survivre leur famille. Leur croissance est perturbé* leur santé morale et physique… La prostitution est dangereuse et les rapports sexuels qui sont le plus souvent non protéger donne suite à de grave maladie mortelle.
Dans les armées de guerre il risque de se faire abattre…
Certains se battent et vise l’élimination progressive du travail des enfants et réclame le droit au travail pour les enfants dans de bonnes conditions.
En 1998* La Marche Mondiale a été créée à l’initiative d’une ONG indienne qui avait pour but de sensibiliser les populations du monde entier sur cette exploitation d’enfants dans le monde du travail.
Il y aurait beaucoup trop de choses à dire en détaillant vraiment le sujet* tellement de pays touchés et des millions d’enfants concernés
[COLOR="rgb(255* 0* 255)"]Droits de l’enfant[/COLOR]
Tout enfant a un droit inhérent à la vie* et les États assurent au maximum la survie et le développement de l’enfant.
Tout enfant a droit à un nom et à une nationalité dès sa naissance.
Lorsque les tribunaux* les institutions de protection sociale ou les autorités administratives prennent des décisions qui concernent les enfants* la considération primordiale doit toujours être l’intérêt supérieur de l’enfant* l’opinion de l’enfant doit être dûment prise en considération.
Les États s’engagent à garantir à chaque enfant la jouissance de ses pleins droits sans discrimination ni distinction d’aucune sorte. En particulier* les filles doivent jouir des mêmes droits que les garçons.
Les États prévoient pour les enfants qui sont sans famille une protection de remplacement convenable. La procédure d’adoption doit être soigneusement réglementée et les États s’efforcent de conclure des accords internationaux pour assurer des garanties et la légalité de la procédure lorsque les parents adoptifs ont l’intention d’emmener l’enfant à l’étranger.
Les enfants handicapés ont droit à un traitement* une éducation et des soins spéciaux.
Les enfants ne doivent pas être séparés de leurs parents sauf en vertu d’une par les autorités compétentes dans l’intérêt des enfants.
décision prise Les États doivent faciliter la réunification des familles en autorisant l’entrée ou la sortie de leur territoire.
La responsabilité d’élever l’enfant incombe d’abord aux parents* mais les États leur accordent l’aide appropriée et assurent la mise en place d’institutions qui veillent au bien-être des enfants.
Les États* la collectivité et les parents protègent les enfants contre les brutalités physiques ou mentales* la négligence ou l’abandon y compris contre la violence et l’exploitation sexuelle.
Les États protègent les enfants contre l’usage illicite des drogues et contre l’utilisation des enfants pour la production ou le trafic de drogues.
Les enfants appartenant à des populations minoritaires ou autochtones pourront avoir leur propre vie culturelle* pratiquer leur religion et employer leur langue librement.
Tout doit être mis en oeuvre pour empêcher l’enlèvement et la traite des enfants.
L’enfant a le droit de jouir du meilleur état de santé possible. Les États assurent l’accès aux soins médicaux à tous les enfants* en mettant l’accent sur la prévention* l’éducation sanitaire et la réduction de la mortalité infantile.
L’enseignement primaire est gratuit et obligatoire* la discipline scolaire doit respecter la dignité de l’enfant.
L’éducation a pour but de préparer l’enfant à la vie dans un esprit de compréhension* de paix et de tolérance.
Les enfants doivent avoir du temps pour le repos et le jeu ainsi que l’accès aux activités culturelles et artistiques dans des conditions d’égalité.
Les États protègent l’enfant contre l’exploitation économique et tout travail susceptible de compromettre l’éducation ou de nuire à leur santé ou leur bien-être.
Aucun enfant de moins de 15 ans ne peut participer à des hostilités* les enfants touchés par un conflit armé doivent bénéficier d’une protection spéciale.
Les enfants victimes de mauvais traitements* de négligence ou ayant été mis en détention doivent bénéficier d’un traitement ou d’une formation appropriée en vue de leur guérison et de leur réadaptation.
Ni la peine capitale ni l’emprisonnement à vie ne doivent être prononcés pour les infractions commises par des personnes âgées de moins de 18 ans.
Les enfants impliqués dans des infractions à la loi pénale ont droit à un traitement qui contribue à développer leur sens de la dignité et de la valeur personnelle et vise à faciliter leur réinsertion sociale.
Les enfants en détention doivent être séparés des adultes* ils ne doivent subir ni tortures ni traitements cruels ou dégradants.
Les États doivent faire largement connaître les droits énoncés dans la Convention* aux adultes comme aux enfants.
5. [COLOR="rgb(255* 0* 255)"]Devoirs l’enfant :
[/COLOR]Les devoirs* c’est ce de que nous sommes obligés de faire et que nous devons accepter de faire.
Nous avons le devoir de bien travailler à l’école* d’être polis avec notre entourage* de participer aux travaux de la maison et de la communité* de respecter la loi* de respecter les autres et de protéger notre environnement.
Et des droits de l’enfant:
• Un enfant doit apprendre à respecter ses parents et ses maîtres.
• L’obéissance est un apprentissage.
• Il doit savoir écouter et respecter la parole de l’autre.
• Il doit respecter les différences de l’autre.
• Il doit apprendre à solutionner les problèmes sans violence.
• Il doit donner une bonne image de soi (Tenue* hygiène).
• Il doit participer et s’investir dans la formation humaine* sociale et professionnelle.
• Il doit mériter la confiance en évitant de tricher* de mentir ou de se mentir.
• Il ne doit pas fumer ni droguer.
• Il ne gaspille pas la nourriture et il ne détériore pas les lieux publics.
• Il doit respecter les handicapés mentaux et physiques.
• Il ne doit pas brutaliser les autres par des coups et des mots blessants.
• Il n’utiliserait pas les autres dans le but de son bien-être.
• Il serait fidèle envers ses amis.
• Il a le devoir d’être à l’heure et de justifier son absence au retard.
• Il a le devoir de se présenter auprès des responsables.
• L’élève doit faire preuve d’assiduité et de ponctualité.
6. Conclusion :
Tu es membre à part entière d’une famille et un grand nombre de tes droits sont exercés par tes parents ou avec leur assistance. Tes parents* comme tes éducateurs* ont un rôle de guides pendant ton enfance et ton adolescence.
Etre un enfant* ce n’est pas encore être un adulte* ni même un citoyen (tu le deviendras à ta majorité). En exerçant tes droits personnels* tu dois respecter les droits des autres et ceux de la société à laquelle tu appartiens.
Tu réponds de tes actes* mais comme cela est prévu pour les enfants.