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Les OGM dans notre vie

qu’est ce-qu’un OGM?
Un organisme génétiquement modifié (OGM) est un organisme (animal, végétal, bactérie) dont on a modifié le matériel génétique (ensemble de gènes) par une technique nouvelle dite de “génie génétique” pour lui conférer une caractéristique nouvelle.
Ce processus s’inspire des techniques de sélection ou de mutation, qui existent déjà dans le monde agricole.
Les trente dernières années ont vu se développer des techniques modernes de “génie génétique”, consistant à introduire un ou plusieurs gènes dans le patrimoine génétique d’un organisme et de construire des organismes dits “génétiquement modifiés” (organismes génétiquement modifiés -OGM- et les micro-organismes génétiquement modifiés -MGM). Ces techniques permettent de transférer des gènes sélectionnés d’un organisme à un autre, y compris entre des espèces différentes. Elles offrent ainsi potentiellement la possibilité d’introduire dans un organisme un caractère nouveau dès lors que le ou les gène(s) correspondants sont identifiés
La transformation génétique peut être effectuée sur de nombreuses espèces végétales, depuis les céréales jusqu’aux légumes ou aux arbres. En tout, ce sont plus de 60 espèces qui peuvent être transformées. Les OGM les plus avancés correspondent surtout à des espèces de grande culture comme le maïs, la betterave et le colza. Les gènes introduits sont très divers mais actuellement ce sont principalement des caractères d’intérêt agronomique qui sont le plus développés.
c’était qq définitions concernant les organismes génétiquement modifiés
mé! l’essentiel pour moi c’est de m’aidez a travers vos participations de mettre en évidence l’utilité des ogm ainsi les risques que présentent ces “produits” pour la santé et l’environnement

En Europe, le maïs et le soja OGM sont destinés principalement à l’alimentation animal !

Ce qui concerne le danger que peut présenter ces OGM pour la santé, je crois pas que j’ai des informations suffisantes, mais d’aprés ce que j’ai trouvé dans les articles disponibles sur le net, le principale risque est l’allergie : de 3 à 5 % de la population souffre d’allergies alimentaires et cette proportion semble en augmentation. Même si jusqu’à prèsent il n’y a pas eu de cas d’allergie qui soient la conséquence de la consommation d’aliments fabriqués à partir de plantes OGM, et au même temps, il impossible d’être sûr qu’aucun consommateur ne dévelloppra jamais d’allergie à un aliment.

Donc on peut conclure que tous reste dans la théorie, et il ne faut pas éliminer la côté économique et donc politique, car pour les importateurs le principal reste le prix.


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البيولوجيا Biologie

Valorisations des sous-produits dans IAA


Introduction

1. La production oléicole
1.1 Composition de l’olive

2. Les principaux sous-produits
2.1 Définitions
12. Estimation des quantités de sous-produits obtenues

3. Valorisation de produits de la taille
3 .l. Caractéristiques physiques et chimiques des feuilles et brindilles d’olivier:
3.2. Valeur alimentaire des feuilles et brindilles
3.3. Utilisations pratiques
3.4. Traitements pour améliorer la valeur alimentaire:

4. Valorisation des grignons:
4.1. Valorisation des grignons en alimentation animale:
4.1 .l. Caractéristiques chimiques:
4.1.2. Valeur alimentaire des grignons:
4.1.2.1. Digestibilité et dégradabilité des grignons:
4.1.2.2. Ingestion des grignons:
4.1.2.3. Valeur fourragère des grignons et Utilisation pratique:
4.1.3. Amélioration de la valeur alimentaire des grignons:
4.2. Utilisations concurrentielles des grignons:
4.2.1. Utilisation des grignons comme combustible:
4.2.2. Utilisations possibles de la coque:

5. Valorisation des margines:
5.1. Caractéristiques physiques, chimiques et microbiologigues des margines:
5.2. Traitements des margines et quelques utilisations potentielles:
5.2.1. Biodégradation naturelle des margines dans des bassins ouverts:
5.2.2. Utilisation des margines comme fertilisant:
5.2.3. Valorisation des margines par récupération de quelques composants:
5.2.4. Obtention des protéines unicellulaires:
5.2.5. Obtention de biogaz:

Conclusions:
Résumé

RESUME – L’industrie oléicole engendre, en plus de l’huile comme produit principal, de grandes quantités de sous-produits. Cent kg d’olive produisent en moyenne 35 kg de grignon et 100 litres de margine. La taille de l‘Olivier laisse en moyenne 25 kg de feuilles et brindilles annuellement.
La valorisation de ces résidus est devenue une nécessité pour éviter une pollution de plus en plus sérieuse, contribuer à l’amélioration de la rentabilité du secteur et contribuerà combler les déficits fourragers surtout des paysd u sud de la Méditerranée.
Les champs d’application des sous-produits de l’olivier sont nombreux et variés. Les possibilités suivantes peuêvtreen ét voquées: bétail.
– Utilisation des grignons, aprës épuisement et séparation de la coque, et des feuilles et brindilles comme aliments pour le
– Utilisation de la coque et des grignons impropres à la consommation animale, comme combustible ou pour d’autres fins
– Utilisation des margines comme fertilisant ou, aprës des traitements d’épuration appropriés, comme matières premiëres pour industrielles.
La production de biogaz, de protéines unicellulaires et voire même d’anti-oxydants.

SUMMARY – “Olive by-products valorization”. In addition to oil as a main product, olive oil industry generates large amounts
of by-products, Basically, 100 kg of olive produces appmximately 35 kg of crude olive cake and 100 l of vegetation water. The total production of leaves and twigs per- tree and per year is about 25 kg. On this basis, the estimated world production of crude olive cake, vegetation water, twigs and leaves, are respectively, of 3 million metric tons, S million cubic meters and I5 rnillion metric tons. Many investigations have shown various utilizations of these by-products. These by-products may contribute to increasing the income of olive oil industry. This is possible through:
– The utilization of solvent extracted olive cake , leaves and twigs as animal feed.
– The utilization of these by-products as energy source through combustion of olive cake and wood or methan production from
– The utilization of vegetation water as fertilizer.
– The extraction of natural chemicals, namely firljitral, anti-oxidants, single cell proteins from these by-products.
Moreover, the main objective of these applications is to prevent environment pollution.
Estimated resources that could be generated from these by-products annually are as follows:
– SS30 billions of Kcal or 0.7 billions of Feed Units from olive cake.
– 320 millions of cnbic meters of methan or 29 to 92,000 tons of K20, 5 to 16,000 tons of P205, I300 to 4200 tons of Mg0
– 24 000 billions of Kcal or 3.5 billions of Feed Units from leaves and twigs. vegetation water.
as fertilizer, from vegetation water.
تلخيص
— يولد صناعة الزيتون ، بالإضافة إلى النفط باعتباره المنتج الرئيسي ، من جانب كميات كبيرة من المنتجات. مائة كيلوغرام من الزيتون ينتج في المتوسط 35 كجم من ثفل التفاح أو العنب و 100 ليتر من الهوامش. حجم شجرة الزيتون يترك في المتوسط 25 كجم من أوراق الشجر واغصان سنويا.
استرداد هذه النفايات أصبح ضرورة لا بد منها لمنع تلوث خطيرة على نحو متزايد ، أن تسهم في تحسين الربحية للقطاع ويساعد على سد الثغرات والعلف وخاصة بلدان جنوب المتوسط.

نطاق من المنتجات الثانوية للشجرة الزيتون كثيرة ومتنوعة. الخيارات التالية peuêvtreen السوائل voquée :
— استخدام ثفل التفاح أو العنب ، بعد استنفاد وفصل للهول ، ويترك واغصان كغذاء للماشية.
— استخدام جسم السفينة ، وثفل التفاح أو العنب غير صالحة للاستهلاك الحيواني ، كوقود أو لأغراض أخرى.
— استخدام margines كسماد أو بعد العلاج المناسب ، والمواد الخام اللازمة للصناعة.
إنتاج الغاز الحيوي ، واللجنة الدائمة المعنية بقانون البراءات وحتى مضادات الأكسدة.



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البحوث الاقتصادية

بحث حول la communication dans les organisations

La communication informelle découle de la tendance naturelle à créer de la relation interpersonnelle y compris au sein des structures de travail. Elle se traduit par des réseaux qui apparaissent, souvent sans lien avec l’organisation, et des rumeurs, qu’elles soient spontanées ou orchestrées. Ils s'inscrivent dans un sous-système autonome ; ils émergent spontanément de la structure formelle et concrétisent l'expression libre des individus. Il s'agit de toute communication non officielle qui circule dans l'organisation. Ils comportent souvent leurs normes et leurs rites, qui contribuent à la culture d'entreprise. Ils renforcent la convivialité, le sentiment d'appartenance. C'est une manifestation de ces échanges spontanés ; elle peut être provoquée ou non. Elles peuvent être favorisées par une absence de communication de la direction qui inquiète les salariés. Ceux-ci colportent alors des informations non officielles. En s'amplifiant, elles peuvent détériorer le climat social et l'ambiance de travail en installant le doute et la méfiance. Comment contrer les rumeurs : – ne rien faire et laisser la rumeur s'éteindre d'elle-même, – tourner la rumeur en ridicule, – faire confirmer la rumeur par une autorité : elle devient alors information officielle, – démentir la rumeur. Internet est un moyen très efficace de diffusion des rumeurs. La communication organisée contribue à la prise de décision, à l’action coordonnée de l’ensemble de ses acteurs et au dialogue social. Selon ses objectifs, la communication prend des formes différentes, favorables à une communication ascendante, descendante ou horizontale. L’approche des supports de communication privilégie donc l’objectif de communication, permettant un choix raisonné du support de communication le plus efficace. La communication organisée vise à renforcer l’efficacité du système, par l’information de ses membres et par le développement de la participation et de l’adhésion du personnel aux objectifs de l’organisation. A cet effet, dans la pratique courante, divers supports sont utilisés : exposé, boîte à idées, enquête interne, livret d’accueil, journal interne, tableau d’affichage. Notes (de service, d’information), fiches de procédures, comptes rendus de réunions, courriers, courriels, sont les moyens les plus communs de la communication opérationnelle. L’organisation peut mettre en place une communication globale afin de mettre en cohérence sa communication interne avec sa communication externe. La communication externe s’adapte à des publics spécifiques en liaison avec son environnement : clients, fournisseurs, associés, banques, collectivités locales, associations… La communication interne se définit comme l'ensemble des échanges qui s'établissent entre les membres d'une organisation. Le document répond au besoin de régulation interne des organisations. Il peut prendre plusieurs formes en fonction de la technologie employée. Le document peut être une information, une donnée, une ressource, un texte, une image, un article, une feuille, un livre, une page, un journal, un fichier… destiné à prouver, informer, renseigner, illustrer, intégrer, communiquer… Tout document est à la fois contenant (support manipulable), contenu (porteur de sens au niveau du fond, de la forme, du contexte) et medium (vecteur de message entre les individus); il confère une légitimité à une information (valeur de preuve, de témoignage). Le document électronique est la représentation d'un document, sous la forme d'une structure de données informatiques entreposable dans la mémoire d'un ordinateur et transmissible d'un ordinateur à un autre. Il prend une place prépondérante dans les organisations. La numérisation tend à dématérialiser et à faire disparaître les supports manipulables. Toutefois, de nombreux documents numériques sont imprimés à un moment ou à un autre. La numérisation tend à dématérialiser et à faire disparaître les supports manipulables. Toutefois, de nombreux documents numériques sont imprimés à un moment ou à un autre. La gestion éléctronique de documents repose sur l'acquisition, le classement, le stockage et la diffusion de l'information. Numérisation : conversion des images en données numériques en vue de leur conservation sur support numérique ou optique et de leur traitement par ordinateur. Digitalisation : conversion d'informations analogiques (son, image, texte) en valeurs numériques correspondantes, modifiables par ordinateur. Reconnaissance optique de caractères (OCR : optical character recognition) : technique qui permet à un système informatique de lire et de stocker de façon automatique un texte dactylographié, imprimé ou manuscrit. L’accès aux documents stockés est facilité par une classification et un rangement adaptés aux utilisations prévues. L'indexation est l'analyse conceptuelle de documents simples pour les décrire par un ou plusieurs mots-clés. Il faut distinguer la description formelle du document (auteur, date, titre…) à des fins de classement de la description par mots-clés permettant de décrire son contenu. Conservation sous forme électronique de documents produits par une organisation, dans le but de pouvoir les utiliser ultérieurement. Mise à disposition des documents selon les règles d'identification et de circulation des documents sur le réseau (architecture, gestion des droits…), les médias (Internet, intranet, portail de l'entreprise) Définition des formats de documents en fonction du dispositif de restitution (écran, CD, DVD…) et de l'utilisation des données (différents formats de fichiers : html, pdf, xml…). Toute production de document numérique prend en compte : – des standards de présentation ; – le nécessaire recours à un ou des logiciel(s) adapté(s) ; – le respect de normes au moment de la production. Les évolutions technologiques et l’évolution des langages de définition et de présentation des documents électroniques tendent à dissocier la structure (le plan), la forme (le style) et le fond (le sens) du document. C'est le cas des fichiers au format XML. La protection et la sécurité des documents et celles de leurs auteurs doivent être assurées tout au long du processus de gestion. L’identification des causes de vulnérabilité, des risques permet de fixer des niveaux de sécurité. Ceux-ci prennent en compte des critères de disponibilité, intégrité, confidentialité et traçabilité des documents. Lorsque le réseau d'une organisation est relié à Internet, il donne la possiblilité à des personnes malveillantes de nuire aux intérêts de cette organisation en effectuant des actes de piraterie Les dangers sont multiples : vol des mots de passe, d'informations confidentielles, accès à des informations privées confidentielles, destruction d'informations, interception de messages, prise de contrôle à distance des ordinateurs, diffusion de virus… Cela peut entraîner des préjudices pour l'organisation concernée : indisponiblilité du réseau, perte de temps, coûts des interventions pour remettre en état ce qui a été endommagée, perte de revenus, perte irrémédiable de données… Elles sont nombreuses et se renouvellent constamment. Nécessité de pratiquer une veille pour déceler les nouvelles techniques. Mesures de sécurité à adopter (voir aussi cours de première) : – accès au réseau par nom d'utilisateur et mot de passe, – logiciels firewall, antivirus, antispam… à mettre à jour régulièrement, – logiciels de détection des vulnérabilités d'un système, – utiliser les signatures électroniques et les certificats électroniques, – crypter les données, – veille permanente (sites de sécurité et des fournisseurs de logiciels) et sensibilisation des utilisateurs aux risques pour l'organisation (charte d'utilisation du métériel) Protection et respect des droits de la personne : droit au respect de la vie privée (protection des données personnelles), loi Informatique et Libertés, respect de la correspondance, droit à l'image, droit à sa réputation … La CNIL reconnaît aux citoyens des droits leur permettant de préserver leur vie privée lors des traitements des données à caractère personnel. Le non-respect de ces droits est sanctionné pénalement. Propriété industrielle : brevets d'invention, dessins et modèles, marques de fabrique et de service. Droits d'auteurs : oeuvres littéraires et artistiques ; en raison de la dématérialisation des documents et de l'impossibilité de contrôler tous les réseaux, la protection des droits d'auteur devient de plus en plus difficile. Le terme « archive » désigne à la fois les documents eux-mêmes et le lieu de leur dépôt. L’archivage renvoie donc vers : – des techniques et modalités de conservation des documents supports des informations ; il existe des obligations légales de conservation des documents. – une organisation temporelle de l’archivage
Communication externe : elle se réalise quand l’émetteur et le récepteur n’appartiennent pas à la même organisation. Elle peut être écrite ou orale, verbale ou non verbale. Ceux qui n’appartiennent pas à l’organisation sont les fournisseurs, banques, assurances, clients, l’état.

*Les différentes communications externes: il existe deux grandes communications :

– la communication institutionnelle axée sur des relations publiques: elle consiste à promouvoir l’image de l’entreprise, l’appuyer. On peut relever des exemples de sponsors avec des manifestations sportives, d’aides sociales avec les magasins U et la scolarisation d’enfants africains…

– la communication marketing : c’est quand l’entreprise s’adresse aux consommateurs pour vendre le produit, et uniquement le produit.

*Le rôle de la communication externe :

– Communication institutionnelle : c’est une communication qui concerne la promotion de l’entreprise émettrice. En effet, l’entreprise communique uniquement sur son image, ses choix, ses missions mais en aucun cas sur ces produits.

– Communication commerciale : c’est une communication qui est utilisée par l’entreprise pour vendre un produit ou un service

– Communication fonctionnelle : elle se passe entre l’émetteur et son environnement extérieur en ce qui concerne son fonctionnement de tous les jours.

Communication interne : c’est un échange d’information entre un émetteur et un récepteur qui appartiennent à la même entreprise. les situations de communication interne sont nombreuses et essentiellement pour le bon fonctionnement e l’entreprise.

*Les différentes communications internes :

– la communication informelle : elle n’a aucun caractère officiel et se développe souvent dans les moments de poses.

– la communication formelle : elle apparait quand il y a un caractère officiel.

* Les 3 sens de la communication interne :

– communication ascendante : elle va du bas de la hiérarchie vers le haut pour donner une information

– communication interne ascendante : elle part du haut de la hiérarchie vers le bas pour faire passer une information

– communication interne latérale, horizontale : c’est une communication entre deux personnes de la même organisation, sur un même niveau hiérarchique.

Toute organisation doit transmettre des informations quotidiennement aussi bien en interne qu’en externe. La communication externe va dépendre de ses objectifs : institutionnelle, commerciale ou fonctionnelle. En interne, cette communication peut prendre 3 sens, mais toujours en formel et également développer une communication interne informelle


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Cours 1 d’Algèbre LMD:Arithmétique dans Z + Fiche TD

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