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L’expérimentation humaine

L’expérimentation humaine
Plan du document:
I. Généralités

1. Définition

II. Principes généraux

1. Le respect de la personne humaine

2. Le consentement libre et éclairé du sujet

3. Le respect des normes éthiques

4. Respect des règles juridiques

III. Conclusion

I Généralités

• Définition

l’expérimentation humaine est des essais pratiqués sur l’être humain pour le développement et les progrès des connaissances biologiques et médicales.
Si ces expérimentations s’avèrent indispensables, il n’en demeure pas moins qu’ils exposent à des risques et à des contraintes, surtout que le médecin doit agir dans l’intérêt du patient. Les intérêts de la science et de la société ne doivent jamais prévaloir sur le bien être du sujet/patient.
La recherche scientifique doit être soumise à des normes juridiques et éthiques afin d’imposer des principes et des limites dans l’expérience sur l’être humain.
II Principes généraux

II.A. Le respect de la personne humaine

Parmi les devoirs des médecins, le respect de l’intégrité physique et morale de la personne humaine.
II.B. Le consentement libre et éclairé du sujet

Les sujets se prêtant à la recherche scientifique doivent être informés de manière appropriée des objectifs de l’expérience à réaliser, du bénéfice attendu et des risques potentiels.
Le médecin doit acquérir le consentement par écrit, il doit leurs expliquer qu’ils sont libres à tout moment.
II.C. Le respect des normes éthiques

Le chercheur realisant des expériences doit se confirmer aux règles d’éthique.
Il existe un conseil national d’éthique des sciences médicales et de société, son rôle est d’orienter et d’émettre des avis et des recommandations sur l’expérimentation.
Chaque phase est soumise à ce conseil pour examen, commentaire, avis et le cas échéant pour approbation.
II.D. Respect des règles juridiques

Le droit Algérien à l’égard de l’expérimentation est lacunaire.
Il existe :
• L’article 168 de la loi 90-17 du 31/07/1990 : complétant et modifiant la loi 85-05 du 16/02/1985 relative à la protection et à la promotion de la santé, cet article précise les modalités et les obligations d’obtenir le consentement du patient et précise le rôle du conseil national d’éthique ;
• L’article 18 du code de déontologie : l’article stipule que l’emploi d’une thérapeutique nouvelle ne peut être envisagé qu’après des études biologiques adéquates sous une surveillance stricte et seulement si cette thérapeutique peut présenter un intérêt pour le patient.
• La responsabilité pénale : est engagée si de l’expérimentation découle le décès du patient ou bien la perte d’un organe.
III Conclusion

Les progrès de la médecine sont fondés sur des recherches qui peuvent imposer de recourir à l’expérimentation humaine mais qui expose à des risques, il peut donc exister un conflit entre le devoir du médecin d’assurer le bien-être du patient et d’agir pour le développement de la science, ce conflit engendre un débat qui ne finira jamais.


merciiiiiiiiiiiiiiiii

شـكــ وبارك الله فيك ـــرا لك … لك مني أجمل تحية .

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البيولوجيا Biologie

Nutrition humaine

II-La malnutrition :


Un enfant qui ne reçoit pas suffisamment de nutriments dans son alimentation quotidienne est exposé à différentes formes de malnutrition.


La malnutrition est un déséquilibre de l’état nutritionnel, causé par l’insuffisance (sous-nutrition) ou l’excès (surnutrition) d’un ou de plusieurs nutriments essentiels pendant une période prolongée.


Ce déséquilibre constitue un réel problème de santé aussi bien dans les pays sous développés que développés. Il peut s’agir d’une suralimentation avec l’obésité, le diabète, les maladies du cœur d’une part et d’autre part d’une sous-alimentation qui est la malnutrition. Dans le langage courant, malnutrition désigne sous-nutrition


Très souvent, un enfant vivant en Pays en voie de développement, est atteint de sous-alimentation énergétique chronique, caractérisée par un retard de croissance et de développement et une plus grande fragilité face aux infections. En Afrique, 20 à 25 millions d’enfants souffrent de malnutrition.


Le marasme est la forme la plus commune de malnutrition grave. L’enfant semble n’avoir que la peau et les os. La fonte musculaire est évidente, la graisse sous-cutanée a disparu.


Cet aspect de marasme résulte d’épisodes répétés de diarrhée et autres infections, d’un allaitement maternel trop prolongé sans alimentation de complément adéquate et globalement d’un apport insuffisant en calories et en protéines

III-La malnutrition protéino-énergétique :


Plus de CENT MILLIONS d’enfants souffrent de la faim dans le monde et peut-être même beaucoup plus, les statistiques étant incomplètes. Le ” Tiers-Monde ” a faim tant par manque d’aliments apportant de l’énergie (tel les féculents) que par défaut d’un ou plusieurs nutriments (tels des protéines qui sont apportées par la viande et certaines plantes comme le soja ; c’est dans ce deuxième cas que l’on parle plus spécifiquement de malnutrition.


Les guerres (Biafra) les exodes (Ethiopie) les inondations (Inde) la sécheresse (Sahel) ont été l’occasion de vraies famines : mais plus répandues encore sont les disettes sévères et la malnutrition chronique. C’est la conséquence de la pauvreté qui s accompagne souvent d’un manque de connaissance, niais aussi d’une production agricole insuffisante et, de plus, de l’utilisation insuffisante ou inappropriée des ressources.


La malnutrition protéino-énergétique est la plus fréquente des maladies graves dans le monde d’aujourd’hui, Si l’on peut mourir de faim dans le monde en 1988 (cas actuel de l’Ethiopie où plusieurs centaines d’enfants meurent ainsi tous les jours), plus souvent il s’agit d’une maladie chronique qui diminue l’espérance de vie mais aussi la qualité de la vie. D’une manière générale ce sont des enfants faibles qui n’ont pas envie de vivre; Leurs capacités intellectuelles sont très diminuées (le cerveau ne pouvant se passer de sucre et d’oxygène) même leur affectivité est altérée, ce qui frappe indépendamment de l’aspect physique c’est cette apathie, cette absence de sourire, ce refus de la nourriture par perte de l’appétit ou tout simplement par acceptation de la mort.. Un enfant qui souffre de malnutrition ne se plaint pas : il attend.


L’expression ” Malnutrition Protéino-énergétique ” englobe l’ensemble des maladies liées à la sous-alimentation. On distingue classiquement le syndrome de KWASHIORKOR et le MARASME.


Les protéines sont nécessaires pour fabriquer des anticorps qui permettent de se défendre contre les infections. Une infection banale chez un enfant bien nourri devient rapidement une maladie extrêmement grave et parfois mortelle chez un enfant sous-alimenté. Et ceci est d’autant plus grave que l’on ne possède pas toujours les médicaments nécessaires dans ces pays où tout peut manquer. Il est donc important de veiller à ce que l’enfant sevré du sein puisse avoir une alimentation mixte équilibrée. Dans ces cas, une distribution d’aliments complémentaires est souvent utile. Mais il faut veiller à ne pas détruire l’équilibre économique local : un afflux de nutriments importés dans une région où la production agricole est insuffisante peut avoir des conséquences dramatiques par l’effondrement des cours du marché.


L’enfant marasmique est souvent plus jeune. Il se présente avec une expression de vieillard avec une peau fripée. Il est amaigri. L’emploi de lait artificiel peut être responsable de cette situation, l’eau étant souvent polluée ; et de plus le lait artificiel coûte cher ; c’est pourquoi il faut impérativement encourager l’allaitement au sein. Même une mère un peu sous-alimentée, dans la mesure où elle reçoit plus de 1 500 calories par jour. fabrique un lait de q




Qu’est ce que le marasme ?


IV .1-Définition


Le marasme nutritionnel est une forme grave de la malnutrition protéino-énergétique. Alors que le kwashiorkor est dû surtout à une carence en protéines, le marasme tient principalement au manque de nourriture et, par conséquent, d’énergie., Le marasme se manifeste le plus souvent au cours de la première année de vie, quand l’enfant n’est pas allaité correctement ; l’autre période critique est celle de la troisième année de vie, quand l’alimentation n’est pas suffisante et que l’enfant souffre en même temps de diarrhées.


C’est en fait une forme d’inanition qui peut tenir à maintes causes. Pour une raison ou pour une autre, l’enfant ne reçoit pas des quantités suffisantes de lait maternel ou d’un autre aliment qui lui convienne.


En présence de marasme, le sujet ingère une quantité insuffisante de protéines et de calories. Le faible apport calorique signifie que seules de petites quantités de glucides sont ingérées; la glycémie et l’insulinémie sont basses. La lipolyse et la protéolyse ont donc lieu et favorisent un apport adéquat d’acides aminés au foie, à partir des muscles pour la production de protéines. Il n’y a pas d’accumulation de lipides dans le foie, et l’albuminémie tend à être normale, sans oedème périphérique. Souvent, l’état nutritionnel du patient se situe entre ces deux extrêmes.


IV.2-Les causes du marasme :


Les causes les plus importantes conduisant au marasme sont :


Les maladies infectieuses et parasitaires de l’enfance, dont la rougeole, la coqueluche, la diarrhée, le paludisme et autres affections parasitaires.


Des infections chroniques comme la tuberculose peuvent également provoquer le marasme. D’autres causes fréquentes du marasme sont la prématurité, la déficience mentale et les troubles digestifs (défaut d’absorption, vomissements, etc.).


la cause la plus courante est l’interruption précoce de l’allaitement maternel, parfois due au décès de la mère, à l’arrêt de la sécrétion lactée, à la séparation de la mère et du nourrisson (en raison de problèmes familiaux, du travail de la mère, etc.) ou au désir de la mère de nourrir son bébé au biberon plutôt qu’au sein (influencée par la publicité ou par des civilisations étrangères, elle croit que cela fait « plus évolué »ou que c’est mieux). Bien entendu, un arrêt précoce de l’allaitement ne conduit pas obligatoirement au marasme.


En Afrique tropicale, cependant, une très large proportion de la population n’a pas les moyens d’acheter assez de lait pour nourrir correctement un bébé. On a alors tendance à trop diluer le mélange acheté. De même, peu de familles disposent d’eau courante ou d’appareils permettant de stériliser facilement les biberons de lait pour le nourrisson. Même si le lait est acheté en quantités suffisantes pour satisfaire les besoins en énergie et en protéines, l’enfant est souvent atteint d’infection gastro-intestinale qui amorce le cercle vicieux aboutissant au marasme.


Une autre cause rencontrée dans certaines parties d’Afrique est un allaitement prolongé auquel on n’ajoute pas, ou trop peu, d’autres aliments. Il est rare qu’une mère puisse produire, au-delà de six mois, suffisamment de lait pour apporter à l’enfant toutes les calories et autres éléments nutritifs qui lui sont nécessaires.La mauvaise lactation peut-être due à : Une mère mal nourrie, des grossesses rapprochées, une alimentation à l’eau simple par une grand-mère ou une soeur pendant que la mère travaille aux champs, et un allaitement tardif.


Les symptômes du marasme :


On constate toujours un arrêt de croissance. Si l’on connaît l’âge de l’enfant, on remarquera que son poids est très en dessous de la moyenne (moins de 60 pour cent). Dans les cas graves, l’amaigrissement est évident, les côtes sont saillantes, l’abdomen est parfois protubérant, le visage a un aspect simiesque caractéristique, les membres sont très émaciés. L’enfant n’a « que la peau et les os »


Les muscles sont toujours atrophiés à l’extrême. S’il existe encore un peu de graisse sous-cutanée, son épaisseur est très faible. Si l’on prend entre le pouce et l’index la peau qui pend, toute ridée (particulièrement autour des fesses et des cuisses), on constate l’absence de la couche normale de tissu adipeux.


La plupart des enfants atteints de marasme ne sont pas apathiques comme ceux qui souffrent du kwashiorkor. Les yeux profondément enfoncés semblent, au contraire, bien éveillés De même, l’enfant est moins irritable, moins triste.


L’enfant a généralement bon appétit. En fait, comme tout être affamé, il peut être vorace. Il tète violemment ses mains, ses vêtements ou tout ce qu’il peut trouver. Il émet parfois des bruits de succion.


Les selles peuvent être liquides mais ce n’est pas là signe constant dans cette maladie. Des diarrhées d’origine infectieuse, précipitent souvent l’évolution.


Il y a presque toujours anémie due à une carence en fer, protéines et autres éléments nutritifs.


Contrairement au kwashiorkor, il n’y a ni œdème ni dermatose avec peau craquelée. Des ulcérations peuvent se produire aux endroits où s’exerce une pression, mais celles-ci sont généralement localisées sur les saillies osseuses, et non dans les régions de frottements. Des altérations des cheveux, identiques à celles que l’on constate dans le kwashiorkor, peuvent se produire, mais il s’agit plus souvent d’un changement de texture que de couleur. La déshydratation, bien que n’étant pas en soi un caractère de la maladie, l’accompagne souvent et provient de la diarrhée sévère (et parfois des vomissements).


Les signes liés aux carences en vitamines : manque de vitamine D : déformation des os longs manque de vitamine A : baisse de la vision nocturne manque de vitamine K : saignements Infections par chute des systèmes de défense de l’organisme. Toutefois au début de la maladie (Marasme), l’appétit est conservé


Un trouble de l’humeur (enfant triste et il semble à un vieillard).




La cause et la gravité de la maladie déterminent le pronostic. Un enfant atteint de marasme sévère et ayant également les poumons très atteints par la tuberculose a évidemment de faibles chances de survie. Par contre, celui qui ne présente pas de maladie infectieuse et n’est atteint que d’un léger marasme a de meilleures perspectives. Dans tous les cas, la réaction au traitement sera vraisemblablement plus lente que dans le kwashiorkor. Une fois l’enfant guéri, il est souvent difficile de savoir que faire, surtout s’il a moins d’un an. Il peut ne plus avoir de mère ou celle-ci peut être malade, et sans aucun doute son lait sera insuffisant. Il est donc indispensable d’enseigner à la personne qui en aura la charge des notions de nutrition. Si l’enfant a été amené par son père, il faudrait qu’une femme de la famille passe quelques jours à l’hôpital avant la sortie de l’enfant. On lui apprendra à le faire boire à la cuillere ou à la tasse, et non au biberon, à moins que l’enfant ait moins de trois mois. Le meilleur régime est généralement constitué par une bouillie légère, préparée avec des aliments locaux, à laquelle on ajoute deux cuillerées à café de lait écrémé en poudre (ou tout autre supplément riche en protéines) et deux cuillerées à café d’huile par kilogramme de poids corporel et par jour. Si l’enfant a plus de six mois, on indiquera à la personne qui s’en occupe les mets qui doivent faire partie de son alimentation. La mère ou la gardienne devra se rendre à l’hôpital ou au dispensaire une fois par semaine régulièrement si elle habite dans un rayon de dix kilomètres, une fois par mois si elle est plus éloignée. chaque visite, on lui donnera une provision d’un supplément adéquat pour une durée supérieure au temps prévu entre les consultations. On peut donner au jeune enfant des aliments différents, comme ceux indiqués dans le traitement des cas bénins de kwashiorkor .


Il est essentiel que la ration apporte des calories et des protéines en quantité convenable. En général, 120 Calories et 3 g de protéines par kg de poids corporel et par jour suffisent pour un traitement de longue haleine. Ainsi un enfant pesant 10 kg recevra 1200 Calories et 30 g de protéines par jour. A noter qu’un enfant ayant souffert de marasme peut être capable au début de sa convalescence de consommer et d’utiliser de 150 à 200 Calories et de 4 à 5 g de protéines par kg de poids corporel.


IV.5-Traitement :


Il faut surtout veiller à apporter au sujet des quantités convenables de calories. Il est très important de déterminer la cause sous-jacente de la maladie. S’il s’agit d’une diarrhée infectieuse, la déshydratation peut exiger un traitement spécial par injections intraveineuses de solutés ou par sonde gastrique, mais en utilisant une composition beaucoup plus diluée que dans le cas du kwashiorkor. S’il est impossible de trouver une veine, les liquides pourront être injectés dans la cavité péritonéale. Simultanément, il convient d’administrer, par voie buccale, des sulfamides ou de la tétracycline. Une fois la diarrhée arrêtée, un régime alimentaire riche en énergie est nécessaire. L’utilisation d’huile végétale avec le lait écrémé en poudre revêt encore plus d’importance ici que dans les cas de kwashiorkor, car elle assure un apport énergétique élevé.


Il est bon de rechercher la tuberculose. S’il y a un doute, on pratiquera une réaction à la tuberculine et, si le résultat est positif, il convient de faire une radiographie pulmonaire.


Le traitement consiste à effectuer une « renutrition » qui, selon l’état pathologique du patient, peut être obtenue de diverses manières. L’expérience des situations de dénutrition observées lors de la deuxième guerre mondiale dans les corps de déportés a permis aux équipes médicales d’acquérir une certaine expérience chez les sujets particulièrement dénutris en état de cachexie avancée. À condition que ces sujets aient conservé l’appétit, il est possible de leur proposer une alimentation orale c’est-à-dire par la bouche en très petites quantités et en utilisant un protocole très strict. L’alimentation de ces patients s’effectue sur plusieurs semaines et très progressivement. Chez d’autres patients, l’apport alimentaire naturel n’est pas possible. Il est alors nécessaire d’employer des techniques dites de réanimation telles que la pose d’une perfusion intraveineuse en utilisant un cathéter. Il s’agit de l’alimentation parentérale. Enfin, pour certains patients, une sonde disposée directement dans le tube digestif (plus précisément dans l’estomac) permet d’apporter directement au patient les nutriments dont il a besoin à condition que son système digestif ne souffre pas de lésion. On parle dans ce cas d’alimentation entérale.


IV.6- Prévention :


Il est conseillé de donner une alimentation équilibrée en fonction de l’âge : repas de petits volumes de quantité et de qualité adaptée aux besoins nutritionnels en fonction de l’âge


Eviter un allaitement prolongé.


Faire apprendre aux mères de familles les mesures préventives suivantes : éduquer les mères sur l’importance des groupes alimentaires, l’hygiène alimentaire, l’eau et l’environnement, une bonne pratique de l’allaitement maternel ; une bonne conduite du sevrage ; un apport alimentaire adéquat pour les enfants de 0 à 5 ans.


Réduire la pauvreté par de petits projets productifs de revenus, les jardins maraîchers, les poulaillers, … .etc.


Pour que les enfants restent en bonne santé, les parents devraient leur assurer une alimentation qui apporte suffisamment d’énergie et tous les nutriments essentiels, tels que les protéines, les vitamines et les sels minéraux. L’alimentation devrait également être saine et exempte de microbes ou de parasites. Il faudrait donner aux enfants de l’eau de boisson potable et leur enseigner les bonnes pratiques d’hygiène.[/center