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العلوم الطبية والبيطرة..

Maladie de "newcastle" chez les poulets

la bronche de la production aviaire est
un chiffre très important dans l’économie
industruelle moderne, et pour la conserver;
il faut lutter contre des maladies graves
tel que "NEWCASTLE".

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Maladie de l’IBR

L’IBR, Infectious Bovine Rhinotracheitis, soit
en français Rhinotrachéite Infectieuse Bovine,
est une maladie qui se manifeste par des
épidémies d’infections des voies respiratoires.
Chez les animaux infectés, ce virus est
également responsable d’ avortement et
d’infécondité. Enfin, il a un impact négatif sur
les productions animales.

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Miicrobiologie

La maladie infectieuse

La microbiologie est l’étude des “microbes” qui sont des êtres petits et vivants qui nous intéressent en médecine car ils sont responsables d’infection.

La maladie infectieuse est l’ensemble des répercussions qu’entraînent dans un organisme la pénétration et/ou (*) le développement d’un agent infectieux ou l’action de ses produits (* La maladie infectieuse peut être consécutive à la prolifération d’agents infectieux déjà présents dans l’organisme.).

On peut être infecté sans être malade.

La maladie infectieuse survient au cours d’une infection et se caractérise par une situation anormale du sujet hôte.

Les agents infectieux sont :
des bactéries
des virus
des parasites
des champignons inférieurs
des levures

Relations entre organisme-hôte et microbe

Avant Pasteur, l’existence de microbes était connue mais leur relation avec la maladie n’était pas soupçonnée : “la maladie est en nous”. Pourtant, Semmelweis, médecin accoucheur autrichien, et Lister, chirurgien anglais, avaient démontré les bienfaits de l’asepsie et laissé supposer que l’infection était causée par les microbes.

Pasteur s’oppose à la notion alors en vogue de “génération spontanée” des microbes et Koch, médecin allemand, apporte la preuve directe de la nature microbienne de la maladie par ses études sur la maladie “du charbon”. Dès lors, on considère qu’un microbe particulier est directement responsable d’une maladie – “la maladie est hors de nous” – et Koch édicte des postulats :

1. le microbe est présent dans tous les cas de la maladie
2. le microbe doit être isolé du malade et cultivé au laboratoire
3. le microbe en culture doit reproduire la maladie quand il est inoculé à un animal sain et sensible
4. le microbe doit être isolé de l’animal ainsi infecté.

Grâce à ces postulats, de nombreuses maladies infectieuses ont trouvé leur étiologie mais des impasses et des erreurs n’ont pu être évitées : des maladies strictement humaines n’ont pas trouvé leur agent causal (gonococcie) et la grippe a été attribuée à tort à “Haemophilus influenzae” alors qu’on sait aujourd’hui qu’elle est due à un virus..

Actuellement, on considère que la maladie dépend à la fois du microbe et de l’hôte, de l’agent infectieux et du “terrain”.

Les microbes nous habitent, notre organisme fait de 1013 cellules héberge 1014 bactéries et les relations entre hôte et microbe sont des relations normalement équilibrées et contrôlées : toute rupture de cet équilibre est source de désordres ou cause de maladie.

La maladie infectieuse suppose une participation de l’organisme : ne fait pas une infection qui veut ! L’organisme réagit habituellement en produisant cellules et anticorps spécifiques : c’est la réaction immunitaire. Le sérodiagnostic met à profit cette réaction : la mise en évidence des anticorps et le suivi de leur cinétique permet de diagnostiquer l’infection.

l’indifférence

les bactéries vivent chez l’hôte sans lui apporter ni gêne ni avantage. Elles sont, par exemple apportées par l’alimentation (la tolérance pour la viande hachée se situe à 500.000 bactéries par gramme et l’eau d’Evian en contient 20.000 par ml). Elles ne trouvent pas les conditions favorables pour s’implanter dans le tube digestif et sont donc de simples transitaires.

la symbiose

Étymologiquement : vivre ensemble. La cohabitation est salutaire pour les deux types de cellules. Des bactéries implantées dans l’intestin participent à la synthèse de la vitamine K qui est utile dans les processus de coagulation du sang.

le commensalisme

(cum,avec – mensa,, la table : qui mange à la même table)

La bactérie vit chez l’hôte et tire profit de cette situation mais n’apporte aucune gêne. Les frontières entre commensalisme et symbiose sont toutefois assez imprécises :
du commensalisme à la symbiose :

la flore dite commensale s’oppose à l’implantation de bactéries à potentiel pathogène : c’est l’effet barrière qui protège contre certaines infections.

du commensalisme à l’exploitation :

certains membres de la flore dite commensale peuvent occasionner des infections chez les sujets fragiles aux défenses amoindries : ce sont des pathogènes opportunistes.

l’exploitation

situation relativement exceptionnelle qui conduit à l’infection. L’hôte est gêné par la présence de la bactérie.

Synonymes :
neutralisme pour indifférence
mutualisme pour symbiose
saprophytisme pour commensalisme (en fait saprophyte se dit d’une bactérie qui vit dans la nature aux dépens de débris végétaux : sapros = pourriture et phyte = plante). Ce terme est souvent utilisé pour désigner des bactéries non pathogènes (non génératrices de maladies) ou commensales, ce qui constitue un abus de langage.
parasitisme pour exploitation : c’est le cas des bactéries dites “pathogènes”.


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Miicrobiologie

La maladie de lyme

LA MALADIE DE LYME
La maladie de Lyme a été décrite pour la première fois aux États-Unis en 1975. Pourtant, nombre de ses symptômes avaient été reconnus en Europe au XIXe siècle, et les études actuelles démontrent que la maladie sévit dans le monde entier.
COMPRENDRE
Les tiques inoculent le germe à l’homme, au cours par exemple d’un voyage en forêt. Le germe responsable de la maladie de Lyme est Borellia burydorferi, de la famille des spirochètes. Le germe est véhiculé par les tiques infestant les animaux sauvages (cervidés et rongeurs). La tique, déposée sur les fougères ou les herbes hautes, pique l’homme et lui inocule la maladie.
En France, quelques milliers de cas surviennent par an, surtout en zone forestière. Les forestiers, les chasseurs, mais aussi les promeneurs ou les campeurs sont les principaux groupes exposés.
La contamination s’opère entre le printemps et la fin de l’automne.
L’évolution de la maladie de Lyme se déroule en trois phases : – la phase primaire de la maladie est marquée par une éruption cutanée autour du point d’inoculation, éruption qui porte le nom d’« érythème chronique migrant » ; – la phase secondaire correspond à la dissémination du germe à partir du point d’inoculation (point de piqûre de la tique) dans différents organes ; – la phase tertiaire correspond à des manifestations chroniques de la maladie, le germe étant « installé ».
RECONNAÎTRE
Les trois phases de la maladie sont caractérisées par une atteinte de la peau, du système nerveux et des articulations. – La phase primaire survient quelques jours à un mois après la piqûre infestante de la tique porteuse du germe. L’érythème chronique migrant est une petite lésion cutanée rouge, parfois en relief, centrée sur le point de piqûre. Cette lésion s’étend jusqu’à atteindre un diamètre de 30 centimètres, tandis que le centre redevient normal, ce qui donne à l’éruption l’aspect d’un anneau. Il n’y a habituellement ni douleur ni démangeaison. La lésion disparaît d’elle même en quelques semaines. – La phase secondaire est parfois révélatrice alors que la phase primaire est passée inaperçue, survenant plusieurs semaines après la disparition de l’érythème. – Les atteintes neurologiques sont les plus fréquentes :
atteinte du nerf correspondant au territoire du point d’inoculation du germe (endroit de la piqûre) ; l’atteinte se manifeste par des douleurs intenses et, parfois, une paralysie ; il arrive que des nerfs situés loin du point de piqûre soient atteints, notamment les nerfs de la face ;
méningite, sous une forme discrète ;
encéphalite et atteintes de la mœlle épinière, plus rares. – L’atteinte articulaire se manifeste par une douleur, une rougeur et un œdème d’une ou de plusieurs articulations. – L’atteinte cardiaque se manifeste par des palpitations, des syncopes, des douleurs thoraciques et, parfois, un ralentissement du rythme cardiaque en rapport avec les troubles de la conduction auriculoventriculaire, l’influx nerveux passant mal entre les oreillettes et les ventricules (index, Physiologie du cœur). – La phase tertiaire survient des mois, voire des années après la première infection : il s’agit de lésions cutanées, caractérisées par une inflammation des jambes très invalidante et par des atteintes articulaires inflammatoires persistantes. Il peut s’y ajouter une atteinte neurologique de la mœlle épinière ou du cerveau, responsable d’une démence.
Le diagnostic de certitude est obtenu par une recherche d’anticorps dans le sérum physiologique ; mais cette sérologie est parfois négative en début de maladie. Les anticorps peuvent également être recherchés dans le liquide céphalo-rachidien (index, Ponction lombaire) en cas d’atteinte neurologique. Le germe n’est en pratique jamais recherché pour lui-même.
TRAITER
Le traitement de la maladie de Lyme repose sur des antibiotiques actifs contre la borelliose au cours de la phase primaire : Clamoxyl*(2 à 3 grammes par vingt-quatre heures pendant dix jours). Durant la phase secondaire, le médecin prescrit du Clamoxyl* en augmentant les doses : 4 à 6 grammes par vingt-quatre heures pendant un mois. En phase tertiaire, on pratique des injections intramusculaires de Rocéphine* pendant au moins un mois.
Le traitement préventif, en l’absence de tout symptôme après une piqûre de tique, n’est pas justifié