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Acheminement des protéines à travers le réticulum endoplasmique et le Golgi

Acheminement des protéines à travers le réticulum endoplasmique et le Golgi
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Dans cette ressource nous nous focaliserons sur les processus de maturation et de tri des protéines synthétisées sur des ribosomes associés à la membrane du réticulum endoplasmique, processus qui permettent de comprendre comment les protéines transitent par le RE et le Golgi vers leurs sites spécifiques de destination. Nous verrons que c’est la nature de la protéine elle-même qui détermine sa destination grâce à la présence de séquences peptidiques spécifiques (étiquettes), de longueur variable (3 à 30 acides aminés). Dans un cas particulier, l’étiquette est un glucide phosphaté. Ces séquences ou ce glucide, sont reconnus par des récepteurs spécifiques qui dirigent leur charge vers le compartiment cellulaire suivant. Le transport entre les compartiments est assuré par des vésicules membranaires, ce qui implique un très actif processus de fission suivi de fusion. Enfin, nous montrerons comment les multiples voies d’exocytose et endocytose sont à la base d’un intense trafic entre le pôle trans-golgien, les lysosomes et la
membrane plasmique
  • Le cour contient des informations sur
  • Acheminement vers le réticulum endoplasmique (REr)
  • تعليم_الجزائر Le passage par le RErugueux : modification co-traductionnelle et repliement des protéines

  • تعليم_الجزائرتعليم_الجزائر Le passage du REr au réseau trans-golgien : les principes du transport vésiculaire
  • تعليم_الجزائرتعليم_الجزائر Un premier transit : du REr au Golgi par l’intermédiaire du compartiment ERGIC
  • تعليم_الجزائرتعليم_الجزائر Un deuxième transit : passage au travers du Golgi
  • تعليم_الجزائرتعليم_الجزائر La glycosylation dans le Golgi
  • تعليم_الجزائرتعليم_الجزائر Troisième transit : tri vers les différents compartiments, lysosome primaire et vésicule de sécrétion
  • تعليم_الجزائرتعليم_الجزائر Les voies d’endocytose
  • تعليم_الجزائرتعليم_الجزائر Les endosomes

Le lien


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La numération formule sanguine -NFS

Les hématies ou globules rouges :
( 3.5 à 5.5 millions). Cet examen isolé oriente vers une anémie (pas assez de globules) ou une polyglobulie (trop de globules). Il permet aussi de voir si il y a des formes anormales (poïkilocytes, schizocytes, hématies falciformes).

L’hémoglobine :
(11 à 16g) une hémoglobine trop basse (inférieure à 10.5g) permet d’établir un diagnostic d’anémie.

L’hématocrite :
(37 à 47%) elle donne la concentration en hémoglobine dans le sang, elle est abaissée dans les anémies, elle est augmentée en particulier chez les consommateurs d’EPO.

Le VGM ou volume globulaire moyen
( 80 à 95). Il mesure la taille moyenne du globule rouge. Ce volume diminue dans les anémies chroniques par saignement ou manque de fer. Il augmente dans les anémies par carence en vitamine, par mauvaise absorption alimentaire du tube digestif. Il augmente aussi dans la consommation chronique de tabac ou d’alcool.

Les CCMH et TCMH
respectivement “concentration corpusculaire moyenne en hémoglobine” et “taux corpusculaire moyen en hémoglobine” n’ont pas d’intérêt diagnostic sinon que le CCMH bas confirme une hypochromie (manque de fer).

Les réticulocytes. (25.000 à 75.000)
Ce sont des hématies très jeunes. Quand leur taux est élevé, elles signalent que la moelle osseuse fabrique beaucoup de globules et régénère des pertes de sang. En cas d’anémie, si les réticulocytes n’augmentent pas, c’est que la moelle osseuse dysfonctionne et est en cause dans cette anémie.

Les leucocytes ou globules blancs. (1000 à 3500)
Leur mesure sert à s’assurer comme les globules rouges, d’un nombre anormal de leucocytes, ou de formes anormales.
Trop de leucocytes peut correspondre à une inflammation ou à une maladie de type leucémie (beaucoup plus rare). Les formes anormales que l’on appelle des blastes font craindre une leucémie, mais toutes les leucémies ne sont pas graves.
Les leucocytes sont classés en:

polynucléaire neutrophiles :
(2000 à 7500 chez l’adulte) leur élévation importante signe une infection type sinusite, appendicite etc… mais ils augmentent aussi chez le tabagique, sous traitement corticoïde, ou dans certaines leucémies.

polynucléaires éosinophiles :
(inf. à 650) leur élévation signe des terrains allergiques, des terrains colitiques, des parasitoses (oxyures, vers solitaire)

polynucléaires basophiles
(inf. à 200) leur augmentation se rencontre dans certaines leucémies, dans les cirrhoses et les problèmes thyroïdiens.

lymphocytes
(1000 à 4000 chez l’adulte ) Leur augmentation se constate dans beaucoup de maladies virales (coqueluche, oreillons, brucellose, grippe etc…) mais aussi dans les leucémies.

monocytes
(200 à 1000) leur nombre augmente dans certaines maladies comme la mononucléose, après une anémie et dans certaines leucémies.


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Elements_de_bio_cellulaire


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Contrôle de qualité des données bouteilles à l’Institut Maurice-Lamontagne

Bienvenue à vous tous

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bonne chance a tous


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Animation bilan du mode d’action des lymphocytes B

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coloration des spares

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la synthèse et la dégradation des protéines

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Dans cette ressource, nous nous focaliserons sur le code génétique, la production de différentes formes d’ARN (ARNr, ARNt et ARNm) dans le noyau, la composition des ribosomes et le mécanisme de la synthèse protéique. Nous expliquerons comment la séquence nucléotidique est traduite en protéine grâce aux processus d’initiation, de translocation et de terminaison de la synthèse protéique. Nous dirons également comment les protéines sont dégradées (protéolyse) soit par la voie du protéasome soit par celle du lysosome (et dans un cas particulier par des caspases). Cette dynamique entre synthèse et dégradation, assure d’une part le bon fonctionnement des protéines et d’autre part permet à la cellule de
s’adapter aux changements de l’environnement (plasticité cellulaire

Le cour contient des informations sur: |

  • Code génétique, ARN messager et ARN de transfert
  • تعليم_الجزائرتعليم_الجزائر Synthèse des protéines : traduction de l’ARNm par le ribosome

  • تعليم_الجزائرRepliement des protéines
  • تعليم_الجزائرتعليم_الجزائر Dégradation des protéines : protéolyse


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QCM sur les bacilles à Gramnégatif

1Les Brucella sont des bactéries :

A – strictement humaines

B – possédant des antigènes de surface dénommés A et M

C – à croissance rapide, en moins de 24 heures

D – sensibles aux tétracyclines

2 – Bordetella pertussis :

A – est un coccobacille à Gram négatif

B – possède une oxydase

C – est aérobie strict

D – nécessite pour se développer la présence d’hémine et de NAD

E – ne peut être isolé chez les malades que durant la période des quintes de toux

3 – Bacille(s) à Gram négatif :

A – Acinetobacter baumanii

B – Bartonella henselae

C – Burkholderia cepacia

D – Moraxella catarrhalis

E – Rhodococcus equi

4 – Legionella pneumophila est responsable d’infections :

A – épidémiques

B – endémiques

C – pandémiques

D – académiques

E – anadémiques

5 – Concernant Brucella melitensis :

A – c’est un coccobacille à Gram négatif

B – il est aérobie strict

C – au sortir de l’organisme, il se développe lentement sur milieu riche

D – il est responsable d’une zoonose touchant surtout les bovins, caprins et ovins

E – il occasionne chez l’homme des suppurations douloureuses au point d’inoculation

6 – Klebsiella pneumoniae :

A – apparaît capsulée

B – hydrolyse l’urée

C – peut utiliser le citrate comme seule source de carbone

D – est généralement sensible à toutes les ß lactamines

7- Test(s) ou caractère(s) utile(s) à l’identification d’une Shigella :

A – caractères généraux d’une entérobactérie

B – sérotypage mettant en évidence les antigènes O et H

C – profil de caractères biochimiques et enzymatiques

D – résistance naturelle aux céphalosporines

8 – Concernant les entérobactéries :

A – ce sont des bacilles Gram négatif

B – dépourvus d’oxydase

C – fermentant toujours le glucose

D – réduisant les nitrates en nitrites

9 – Yersinia enterocolitica :

A – appartient à la famille des entérobactéries

B – est responsable de diarrhées chez l’enfant

C – est insensible à l’ampicilline

D – résiste aux températures de réfrigération

10 – Les antigènes H des entérobactéries :

A – sont de nature protéique

B – sont supportés par les flagelles

C – sont thermolabiles

D – peuvent masquer l’agglutination O

11 – Yersinia pestis :

A – est une entérobactérie

B – est pathogène pour l’homme exclusivement

C – donne lieu à des manifestations ganglionnaires et pulmonaires

D- est très résistante aux antibiotiques

12 – L’identification des Shigella repose sur :

A – bactérie possédant les caractères des Entérobactéries

B – fermentant le glucose sans production de gaz

C – toujours immobile

D – possédant des antigènes O et H spécifiques des différents sérovars

E – opposant une résistance naturelle aux aminopénicillines

13- Concerne Haemophilus influenzae :

A – il ne se développe bien qu’en présence de sang

B – il est régulièrement sensible aux aminopénicillines

C – on n’isole chez l’homme que des souches capsulées

D – la structure du polysaccharide capsulaire détermine 6 sérovars

14 – Haemophilus influenzae :

A – est un hôte normal des voies aériennes supérieures

B – ne se rencontre pas dans la nature

C – est responsable de méningites chez l’enfant non vacciné

D – ne se développe que sur gélose au sang frais

E – est toujours sensible à l’ampicilline

15 – Proposition(s) exacte(s) :

A – Un mélange de Staphylococcus aureus et d’Haemophilus influenzae donne naissance, sur gélose ordinaire, à une culture où les deux espèces coexistent

B – Le facteur X, indispensable à la culture de Haemophilus influenzae, n’est pas présent dans le sang frais

C – Le facteur V est présent dans la gélose ordinaire

D – La gélose “au sang cuit” convient pour la culture d’Haemophilus influenzae

E – Haemophilus influenzae se multiplie sur “gélose au sang frais”

16 – Haemophilus influenzae a toutes ces caractéristiques, sauf une. Laquelle ?

A – est commensal de l’oro-pharynx

B – est responsable de méningites de l’enfant

C – est un bacille Gram positif

D – peut être résistant à l’ampicilline par production d’une bétalactamase

E – est toujours sensible au céfotaxime

17 – Pseudomonas aeruginosa est :

A – un bacille Gram négatif

B – aérobie-anaérobie facultatif

C – mobile

D – sensible à l’ampicilline

18 – Pseudomonas aeruginosa :

A – est un bacille Gram négatif, mobile

B – aérobie strict

C – possédant une oxydase

D – résistant à toutes les bétalactamines

19 – Pseudomonas aeruginosa est une bactérie :

A – à Gram négatif

B – aérobie stricte

C – possédant une oxydase

D – produisant habituellement un pigment bleu-vert

E – régulièrement résistante à toutes les bétalactamines

20 – Vibrio cholerae :

A – est mobile

B – produit de l’indole

C – fermente glucose et saccharose

D – possède une oxydase

21 – Vibrio cholerae :

A – est capable de se développer en milieu hypersalé (1 à 3 %)

B – produit de l’indole

C – réduit les nitrates en nitrites

D – se développe bien en milieu acide

—————

Réponse

1 -BD
2 -ABC
3 -ABC
4 -E
5 -ABCD
6 -ABC
7 -AC
8 -ABCD
9 -ABCD
10 -ABCD
11 -AC
12 -ABC
13 -D
14 -ABC
15 -D
16 -C
17 -AC
18 -ABC
19 -ABCD
20 -ABCD
21 -ABC


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TP de bio-physique 2ème Année Biologie


TP 2ème Année Biologie

TP de bio-physique


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Aérophagie

C’est quoi Aérophagie ?

Cela signifie manger de l’air , autrement dit c’est le fait d’avaler de l’air en mangeant ou en buvant. Le résultat est une accumulation d’air dans l’estomac qui peut provoquer des éructations (rots) mais surtout qui entraîne une distension.

Il est normal que l’on avale un peu d’air en mangeant, ne serait-ce que parce que les aliments eux-mêmes en contiennent (les oeufs battus en neige, les boissons gazeuses, le pain, etc.). C’est d’ailleurs bien pour cela que l’estomac possède à son sommet une poche pleine d’air qui ne gène en rien la digestion.

Mais dans l’aérophagie, le phénomène est différent : le plus souvent il s’agit d’un tic nerveux. Chaque rot (évacuation d’air en provenance de l’estomac) est suivi d’une réingestion inconsciente de la même quantité d’air… qui entraînera le rot suivant, etc.

Aérophagie ou fermentations ?
C’est le problème, car quelqu’un qui fait de l’aérophagie peut en fait présenter un autre problème :

Une occlusion intestinale va donner des ballonnements importants. Seulement ils sont extrêmement douloureux et s’accompagnent d’un arrêt total du transit.
Des fermentations : gaz provoqués par une fermentation de certains sucres lents.
Une aérocolie : présence de gaz dans le gros intestin.