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explique comment ce fait le controle microbiologique de l’eau
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علوم الطبيعــة والحيـاة Sciences de la nature et la vie
Acides-phénols dérivés de l’acide benzoïque : les acides hydroxybenzoïques
Ils dérivent par hydroxylation de l’acide benzoïque avec une structure de base de type C6-C1. Ces hydroxyles phénoliques OH peuvent ensuite être méthylés.
Exemples :
acide gallique, élément constitutif des tanins hydroxylables
acide vanillique dont l’aldéhyde, la vanilline, est bien connue comme l’arôme naturel de vanille
Les dérivés de l’acide cinnamique ont une structure de base de type C6-C3. Ils sont aussi qualifiés de l’appellation de phénylpropanoïdes. Les hydroxyles phénoliques OH de ces dérivés peuvent aussi être méthylés (-O-CH3).
Exemples :
acide p-coumarique, dont les lactones, les coumarines, sont largement distribuées dans tout le règne végétal
acide caféïque, très large représentation chez les végataux, souvent sous forme de l’acide chlorogénique, comme dans le grain de café, le romarin, la pomme ou sous forme d’un ester dans l’artichaut et le thé de Java (orthosiphon)
acide férulique
acide sinapique
Dans les plantes, ces acides-phénols sont souvent sous forme d’esters d’alcools aliphatiques ou d’esters de l’acide quininique, de l’acide rosmarinique ou de glycosides.
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un laboratoire de contrôle de la qualité
Elle est utile pour les étudiants du contrôle de qualité et annalyse
pour être en mesure de voir quelques-uns des équipements,
les outils et l’accès à ses composantes,
ainsi que d’un modèle pour fournir
des résumés de leurs recherches au cours de la jeter
Ce travail est le fruit d ‘effort
D’un groupe des étudiants de quatrième année l’an dernier
sous la supervision de MR *BOUBENDIRE ABD -ELHAFID
QUESTION1 (5 points): on a enregistré les temps de rétention (tr) au cours d’une chromatographie sur gel.des protéines suivantes (aldolase:145000, Lactate déshydrogénase: 135000, Phosphatase alcaline: 80000, Ovalbumine: 45000 et Lactoglobuline: 37100) le débit est de 5 ml/h. les temps de rétention sont respectivement: 10.4, 11.4, 18.4, 26.2 et 28.6 heures.
1- calculer les volumes d’élution (Ve) correspondants à chacune des protéines. (1.25 pts)
2- Quels le nom de cette chromatographie?
3- Déterminer la masse moléculaire de la glucokinase sortie à un temps de rétention tr=21h. (2pts)
QUESTION2 (5 points):L’absorbance d’un mélange de 2 nucléotides différents (N1 et N2) à 260 nm est égale à 0.60 et elle est égale à 0.30 à 280 nm. Connaissant le cœfficient d’absorption molaire (ε) de chaque nucléotide, calculer les concentrations de N1 et N2 dans cette solution (on donne L=1cm).
εN1 à 260nm=15 10³ εN2 à 260nm=12 10³
εN1 à 280nm=2.5 10³ εN2 à 280nm=8 10³
QUESTION3 (5 points): Enumérer les principaux procédés de fractionnement et les différents types de chaque procédé?
QUESTION4 (5 points): L’électrophorèse sur gel de polyacrylamide en présence du SDS et du 2-mercaptoéthanol est argement utilisé pour l’étude des poids moléculaires des sous unités protéiques. Le system utilisé dans ce cas est discontinu.
1- Quels sont les rôles du SDS et du 2-mercaptoéthanol? (2pts)
2- Que signifie le terme système discontinu? (1pt)
3- Quelle est la composition chimique du gel polyacrylamide? (1pt) Citer deux autres gels utilisés en électrophorèse. (1pt)
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EPREUVE: BIOCHIMIE
Exercice 1:
Soit un triholosides X, non réducteur, dont tous les oses appartiennent à la série D.
L’action d’une βgalactosidase sur X libère le saccharose et un hexose.
Lorsqu’une mole de X est soumise à l’action de l’acide périodique (HIO4), il y a consommation de 3 moles d’ HIO4, production d’une mole d’acide formique et aucune d’aldéhyde formique.
Quel est le nom de X selon la nomenclature officielle et quelle est sa formule selon Haworth. Expliquer.
Exercice 2:
Soit le peptide A: Asp-Ala-Glu-Ser-Lys et le peptide B: Asp-Ala-Glu-Ser
a- Quelle enzyme permet d’obtenir B à partir de A
b- A pH=1, quelle est la charge nette de A et quelle est celle de B justifier
c- Le mélange des 2 peptides est soumis à une électronique à pH=7. Indiquer par un schéma à la fin de l’expérience la position des 2 peptides. Justifier le résultat.
Exercice 3:
Une préparation d’enzyme renferme 20 mg de protéine par ml. On sait que l’enzyme a pour son substrat une Km=3 10‾ۤ4M.
En présence d’une concentration 3 10‾ۤ4M de substrat, la transformation du substrat est à raison de
1- A quelle concentration de substrat devra-t-on opérer pour mesure l’activité spécifique de cette préparation d’enzyme,
2- Calculer l’activité spécifique de cette préparation.
Exercice 4:
La biosynthèse de l’acide palmitique est cytoplasmique, consomme 8 acétylCoA et utilise le pouvoir réducteur de 14 NADPH,H+
a- Quelle est l’origine de l’acétylCoA servant à cette synthèse
b- Comment l’acétylCoA formé au niveau de la mitochondrie parvient au niveau du cytoplasme
c- Quelle est l’origine du NADPH,H+ servant à cette synthèse(décrire les réactions biochimiques)
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L’ACIDE URIQUE
L’acide urique est l’un des déchets de la décomposition des protéines dans l’organisme. Le taux d’acide urique dans le sang est élevé dans la goutte et dans l’insuffisance rénale (index, Nephro-urologie).
Taux normal : – femme : 20 à 60 mg / l, soit de 90 à 360 micromol / l ; – homme : 25 à 70 mg / l, soit de 149 à 416 micromol / l.
LE TAUX DE PROTHROMBINE
Cet examen permet de tester le bon fonctionnement de certains facteurs de la coagulation. Ils sont abaissés en cas de maladie hépatique et lorsqu’un malade prend des médicaments anticoagulants par voie orale. C’est, dans ce cas, l’examen de choix pour contrôler l’efficacité du traitement. Le taux de prothrombine, ou « T.P. », doit alors être strictement compris entre 25% et 35%, alors qu’il est normalement supérieur à 70%. S’il est inférieur à 25%, il y a risque d’hémorragie, et s’il est supérieur à 35%, le traitement n’est plus suffisamment efficace.
L’UREE
Elle provient de la destruction des protéines, et s’élimine par le rein (index, Physiologie du rein). Elle peut donc augmenter si ce dernier ne fonctionne pas bien, ou en cas de destruction trop importante de protéines (comme dans les brûlures étendues).
Taux normal : 0,15 à 0,50 g / l.
LE CALCIUM
Le calcium doit rester à un taux fixe dans le sang. Une variation fait suspecter une maladie osseuse (index, Rhumatologie), rénale (index, Néphro-urologie), endocrinienne (index, Endocrinologie) ou de mauvais apports en vitamine D.
Taux normal : 90 à 105 mg / l, c’est-à-dire de 2,2 à 2,6 mmol / l.
LE TEMPS DE CEPHALINE KAOLIN
C’est un test destiné à étudier la coagulation. Les résultats sont donnés par comparaison avec un sujet témoin exempt de toute maladie. Il est notamment utilisé pour surveiller un traitement anticoagulant par héparine (injections intraveineuses) ou calciparine (injections sous-cutanées) : ce temps doit alors être deux ou trois fois supérieur à celui du témoin.
LE CHOLESTEROL ET LES LIPIDES
Le sang contient 5 à 7 grammes de lipides par litre. Ces lipides sont liés à des molécules spéciales de protéines, les lipoprotéines, qui sont chargées de les transporter. On distingue quatre types de lipoprotéines : – les chylomicrons, riches en triglycérides ; – les VLDL (Very Low Density Lipoproteins) ou lipoprotéines de très basse densité, ou pré- Béta-lipoprotéines, également riches en triglycérides ; – les LDL ( Low Density lipoproteins) ou lipoprotéines de basse densité, que l’on appelle aussi « Bêta-lipoprotéines », transportant la majeure partie du cholestérol ; le LDL-cholestérol est souvent appelé le « mauvais » cholestérol, car son augmentation est constante en cas d’athérome ; – les HDL (High Density lipoproteins) ou lipoprotéines de haute densité ou encore Alpha-lipoprotéines, transportant surtout des phospholipides et un peu de cholestérol ; le HDL-cholestérol est considéré comme le « bon » cholestérol, car il protège les artères contre l’athérome.
Les taux normaux : – lipides du sang : 5 à 7 g / l.
Cet examen n’est guère significatif, car il apporte peu de renseignements sur la répartition des lipides.
LE CHOLESTEROL
Les valeurs usuelles du cholestérol sont variables, puisqu’elles vont de 1,40 à 2,50 g / l (3,61 à 6,45 mmol / l) : – HDL-cholestérol : 0,4 à 0,5 g / l ou 1 à 1,3 mmol / l ; – LDL-cholestérol : doit être inférieur à 2 g / l ou à 5 mmol / l ;
Il y a hypercholestérolémie si le taux de cholestérol sanguin est supérieur à 2,60 g / l, ou bien à 6,7 mmol / l (2,80 g / l chez l’adulte de plus de soixante ans).
LES TRIGLYCERIDES
Les triglycérides sont comme le cholestérol des corps gras présents dans le sang. Leur dosage peut s’avérer élevé dans une alimentation déséquilibrée, en particulier si l’on consomme trop de sucre, d’alcool, ou simplement si la personne est trop grosse. Enfin, cet examen doit être régulièrement effectué en cas de prise de pilule. – triglycérides : 0,30 à 1,40 g / l ou 0,33 à 1,58 nmol / l. Il y a hypertriglycéridémie nette lorsque le taux dépasse 2 g / l.
LA CREATININE
C’est le « miroir » du fonctionnement rénal. Elle est normalement élevée chez les personnes très musclées ou en cas de maladie musculaire.
Taux normal : 5 à 12 mg / l, c’est-à-dire de 45 à 110 mol / l.
L’IONOGRAMME
C’est le dosage des principaux « ions » du sang. Il existe des éléments chargés positivement, les cations, et des éléments chargés négativement, les anions. Ils doivent être en état d’équilibre.
On dose le sodium, le potassium, le chlore et les bicarbonates. Un trouble de cet équilibre peut être constaté dans nombre de maladies (rénales, par exemple) ou après la prise de certains médicaments (les diurétiques). La surveillance de l’ionogramme est essentielle en réanimation, lorsque le malade est réhydratée par des perfusions intraveineuses. L’ionogramme permet de mesurer l’importance de la réhydratation ou de la déshydratation et de « remplir » le patient en conséquence.
Taux normaux : – sodium (Na+) : 142 mmol / l ; – potassium (K+) : 5 mmol / l ; – calcium (Ca+ +) : 2,5 mmol / l ; – magnésium (Mg+ +) : 1,5 mmol / l ; – chlore (Cl–) : 103 mmol / l ; – bicarbonates (HCO3–) : 27 mmol / l ; – phosphates (HPO4 ¬ ¬) : 1 mmol / l.
L’HCG
La ganadotrophine chorionique ou hormone chorionique gonadotrope (HCG) est une hormone dont le taux s’élève rapidement dans le sang et les urines lors de la grossesse. Son dosage permet d’en suivre l’évolution dès les premiers jours après la fécondation : – en l’absence de grossesse, le taux est inférieur à 5 U / l ; – 4e semaine d’aménorrhée : 1 500 U / l ; – 6e semaine d’aménorrhée : 28 000 U / l ; – 8e semaine d’aménorrhée : 94 000 U / l ; – 12e semaine d’aménorrhée : 57 000 U / l ; – 17e semaine d’aménorrhée : 18 000 U / l ; – au cours du 2e et du 3e trimestre : le taux se maintient entre 10 000 et 30 000 U / l.
L’ELECTROPHORESE
Pour distinguer les protéines les unes des autres, on réalise un examen spécial appelé électrophorèse. Si l’on applique un courant électrique aux protéines du sang, on observe une séparation des différentes protéines, ce qui permet de les doser. En pratique, le prélèvement est déposé sur une bande de papier spécial (acétate de cellulose), à laquelle est appliqué un champ électrique. Les protéines se déplacent le long de ce papier ; il suffit à la fin d’appliquer un colorant pour voir apparaître des bandes plus ou moins foncées et larges en fonction de la concentration de chaque protéine. Toutes ces opérations sont réalisées
automatiquement aujourd’hui.
LES DIFFERENTES PROTEINES
– L’albumine diminue chez les personnes âgées et pendant la grossesse. Elle diminue également lorsque l’alimentation est pauvre en protéines (index, Alimentation), lors des maladies hépatiques (index, Gastrologie), lors des hémorragies graves, des maladies rénales (index, Néphrologie), des diarrhées chroniques. – Les alpha1 et alpha2-globulines augmentent au cours de la grossesse, lors des maladies infectieuses, des collagénoses, des maladies rénales (index, Néphrologie), des infarctus du myocarde, des fractures osseuses (index, Traumatologie). – Les bêtaglobulines augmentent lorsqu’il existe des anomalies des graisses de sang, lors des maladies hépatiques et lors des maladies rénales. – Les gammaglobulines augmentent dans un grand nombre de maladies, en particulier les maladies infectieuses et parasitaires, le sida, les affections rénales, rhumatologiques, les cancers et les maladies sanguines.
LES IMMUNOGLOBULINES
Ce sont des protéines spéciales, appartenant à la classe des gammaglobulines, et qui sont responsables de l’activité anticorps (index, Immunologie). On dose les immunoglobulines chaque fois que l’on constate une anomalie dans le dosage des gammaglobulines, ou lorsque l’on recherche une maladie spécifique.
On distingue cinq catégories d’immunoglobulines : – les Immunoglobulines G ou IgG – les Immunoglobulines A ou IgA – les Immunoglobulines M ou IgM – les Immunoglobulines D ou IgD – les Immunoglobulines E ou IgE
Des sous-classes : certaines de ces classes peuvent encore être subdivisées en plusieurs sous-classes (on distingue ainsi les IgG1, G2, G3, G4).
Taux normaux :
Les Immunoglobulines G représentent 80% des immunoglobulines et leur augmentation est constante dans la plupart des maladies infectieuses, ainsi que celle de la plupart des immunoglobulines, selon des modalités qui vous sont expliquées dans le chapitre consacré à l’immunologie. Mais les Immunoglobulines E sont, quant à elles, augmentées surtout lors des réactions allergiques telles celles que manifestent un asthme ou un eczéma.
Controle qualité et analyses
Technique de l’ingénieur
I- Agroalimentaire agroalimentaire
معالجة المياه eau 1
التغليف emballage
تخزين المياه eau 2
توزيع المياه eau 3
وحدات القياس unités
الاغلفة البلاستيكية emballage plastique
مكونات كيميائية للمواد الغذائية composition chimique des aliments
مياه صالحة للشرب alimentation en eau potable