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Révision de la microbiologie alimentaire: 4ème CQA

Je viens de réviser la microbiologie alimentaire
et j’ai voulu de vous partager ce que je viens de le réviser

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merci mais elle est ou la suite ???

شـكــ وبارك الله فيك ـــرا لك … لك مني أجمل تحية .

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c’est quoi la biologie?


La biologie, du grec bio (βιος), est la science de la vie. Cette généralité étymologique recouvre plusieurs réalités :
• Par définition, la biologie est l’étude des êtres vivants, tels qu’on les connaît sur la planète Terre. Prise au sens large de sciences du vivant, elle recouvre une partie des sciences naturelles et de l’histoire naturelle des êtres vivants (ou ayant vécu). Toutefois la distinction entre organismes vivants et non vivants est parfois difficile (voir virus, viroïde et prions.), et la détermination de l’objet spécifique de la biologie n’a rien d’évident.
• Prise en un sens structurel et fonctionnel, la biologie recouvre également l’ensemble des disciplines, classiques et modernes, qui étudient les structures (Anatomie…), les fonctions (Physiologie) et les niveaux d’organisation des êtres vivants, considérés comme des assemblages complexes (molécules, cellules, tissus, organes, systèmes et organismes), interagissant entre eux selon les lois de la physique et de la chimie, applicables à toute matière.
• Elle étudie leurs caractéristiques et leur regroupement en entités ou taxons (Taxinomie), leurs relations les uns par rapport aux autres et leur classement (Systématique), ainsi que les rapports qu’ils entretiennent avec leur milieu (Écologie, Éthologie).
• La biologie étudie également l’évolution des êtres vivants (Systématique évolutionniste et phylogénétique, théorie de l’évolution).
• La biologie concerne également certaines caractéristiques du vivant utiles à l’homme (applications agricoles, agro-alimentaires, médicales, pharmaceutiques, chimiques…)
Le terme biologie a été défini à la fin du XVIIIe siècle par le naturaliste français Jean-Baptiste Pierre Antoine de Monet, chevalier de Lamarck : « Tout ce qui est généralement commun aux végétaux et aux animaux comme toutes les facultés qui sont propres à chacun de ces êtres sans exception, doit constituer l’unique et vaste objet d’une science particulière qui n’est pas encore fondée, qui n’a même pas de nom, et à laquelle je donnerai le nom de biologie. »

Principales disciplines:
En raison du caractère extrêmement vaste du sujet, l’étude de la biologie nécessite un morcellement. Une approche, un peu « réductrice » mais ayant l’avantage de clarifier les thèmes, consiste à définir des niveaux d’organisation. Dans un souci de parvenir à une compréhension plus globale de la biologie, des ponts se sont naturellement créés entre les différentes disciplines.
Niveau d’observation Exemple Disciplines
moléculaire molécules biologiques : protéines, ADN
chimie organique, biochimie, biologie moléculaire

microscopique composants de la cellule (organites)
biologie cellulaire, cytologie

cellules, organismes unicellulaires
microbiologie

organes, tissus
physiologie, histologie

macroscopique organismes, individus
biologie des organismes, anatomie, éthologie

populationnel colonies, populations, métapopulations
biologie des populations, génétique des populations

spécifique espèce
taxinomie, phylogéographie…

supra-spécifique groupes d’espèces, écosystèmes, évolution humaine
systématique, écologie, phylogénie

D’autres disciplines sont associées à la biologie, telles que la génétique ou science de l’hérédité.
Un des concepts clef de la biologie est le principe de l’évolution. La phylogénie retrace ainsi l’évolution des organismes et la paléontologie étudie les organismes fossiles et cherche à retracer leur évolution. Ces disciplines s’appuient sur la taxinomie qui a pour objet de décrire les organismes vivants et de les regrouper en entités appelés taxons (genres, familles, espèces, etc.), et sur la Systématique qui a pour objet de dénombrer et de classer les taxons dans un certain ordre, en se basant sur divers principes et méthodes : phénétiques (phénogrammes), numérique (critères de ressemblances), évolutionniste (phylogénétique, grades et clades)…
Les progrès fulgurants de la biologie suscitent parfois des interrogations philosophiques, de vives inquiétudes, voire une forte opposition de certaines associations ou organisations non gouvernementales (ONG). Citons notamment : l’interruption volontaire de grossesse (IVG), le clonage, les organismes génétiquement modifiés (OGM), le séquençage et les problèmes de propriété qui en découlent.

-Thèmes liés à la biologie:
Anatomie — Anthropologie — Astrobiologie — Biochimie — Biogéographie — Bioinformatique — Biologie cellulaire — Biologie moléculaire — Biologistes célèbres — Biologie structurale — Biologie théorique — Biophysique — Biotechnologie — Botanique — Chronobiologie — Cytologie — Écologie — Embryologie — Endocrinologie — Environnement — Éthologie — Génétique — Histologie — Immunologie — Médecine — Microbiologie — Milieux naturels — Mycologie — Neurosciences — Paléontologie — Pharmacie — Pharmacologie — Phylogénie — Physiologie — Systématique — Taxinomie — Théorie de l’évolution — Toxicologie — Types biologiques — Exobiologie — Zoologie.


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Des ressources en chimie organique


Des ressources en chimie organique

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CHROMATOGRAPHIE LIQUIDE HAUTE PERFORMANCE TAB cqa3

CHROMATOGRAPHIE LIQUIDE HAUTE PERFORMANCE (HPLC)

I) Principe de la chromatographie

La chromatographie est une méthode de séparation des constituants d’un mélange même très complexe.

Il existe trois principaux types de chromatographie:

• la chromatographie en phase gazeuse (CPG)

• la chromatographie en phase liquide à haute performance (HPLC)

• la chromatographie en couche mince (CCM).

Les deux premières méthodes peuvent être assez largement décrites par des théories communes. Dans les deux cas, un fluide appelé phase mobile parcourt un tube appelé colonne. Cette colonne peut contenir des “granulés” poreux (colonne remplie) ou être recouverte à l’intérieur d’un film mince (colonne capillaire). Dans les deux cas, la colonne est appelée phase stationnaire. A l’instant initial, le mélange à séparer est injecté à l’entrée de la colonne où il se dilue dans la phase mobile qui l’entraîne à travers la colonne.

Si la phase stationnaire a été bien choisie, les constituants du mélange, appelés généralement les solutés, sont inégalement retenus lors de la traversée de la colonne.

De ce phénomène appelé rétention il résulte que les constituants du mélange injecté se déplacent tous moins vite que la phase mobile et que leurs vitesses de déplacement sont différentes. Ils sont ainsi élués de la colonne les uns après les autres et donc séparés.

Un détecteur placé à la sortie de la colonne couplé à un enregistreur permet d’obtenir un tracé appelé chromatogramme. En effet, il dirige sur un enregistreur un signal constant appelé ligne de base en présence du fluide porteur seul ; au passage de chaque soluté séparé il conduit dans le temps à l’enregistrement d’un pic.

Dans des conditions chromatographiques données, le “temps de rétention” (temps au bout duquel un composé est élué de la colonne et détecté), caractérise qualitativement une substance. L’amplitude de ces pics, ou encore l’aire limitée par ces pics et la prolongation de la ligne de base permet de mesurer la concentration de chaque soluté dans le mélange injecté.

II) La chromatographie liquide haute performance

Les organes

a) Un réservoir de solvant (éluant) qui contient la phase mobile en quantité suffisante. Plusieurs flacons d’éluants (solvants de polarités différentes) sont disponibles pour pouvoir réaliser des gradients d’élution (mélange de plusieurs solvants à des concentrations variables) à l’aide de la pompe doseuse.

b) La pompe : elle est muni d’un système de gradient permettant d’effectuer une programmation de la nature du solvant. Elle permet de travailler:

– en mode isocratique, c’est-à-dire avec 100% d’un même éluant tout au long de l’analyse.

– en mode gradient, c’est-à-dire avec une variation de la concentration des constituants du mélange d’éluants.

Les pompes actuelles ont un débit variable de quelques ml à plusieurs ml/min.

c) Vanne d’injection : c’est un injecteur à boucles d’échantillonnage. Il existe des boucles de différents volumes, nous utiliserons une boucle de 20ml. Le choix du volume de la boucle se fait en fonction de la taille de la colonne et de la concentration supposée des produits à analyser. Le système de la boucle d’injection permet d’avoir un volume injecté constant, ce qui est important pour l’analyse quantitative.

d) La colonne

Une colonne est un tube construit dans un matériau le plus possible inerte aux produits chimiques, souvent en inox ou en verre. Sa section est constante, de diamètre compris entre 4 et 20 mm pour des longueurs généralement de 15 à 30 crn. Au delà, les importantes pertes de charges exigeraient des pressions de liquide beaucoup trop élevées.

e) La phase stationnaire

– La phase normale:

La phase normale est constituée de gel de silice. Ce matériau est très polaire. Il faut donc utiliser un éluant apolaire. Ainsi lors de l’injection d’une solution, les produits polaires sont retenus dans la colonne, contrairement aux produits apolaire qui sortent en tête.

L’inconvénient d’une telle phase, c’est une détérioration rapide au cours du temps du gel de silice, ce qui entraîne un manque de reproductibilité des séparations.

– La phase inverse :

La phase inverse est majoritairement composée de silice greffées par des chaînes linéaires de 8 ou 18 atomes de carbones (C8 et C18). Cette phase est apolaire et nécessite donc un éluant polaire (ACN, MeOH, H20). Dans ce cas, ce sont les composés polaires qui seront élués en premier.

Contrairement à une phase normale, il n’y a pas d’évolution de la phase stationnaire au cours du temps, et la qualité de la séparation est donc maintenue constante.

– La phase mobile :

L’interaction plus ou moins forte entre la phase mobile et la phase stationnaire normale ou à polarité inversée se répercute sur les temps de rétention des solutés. La polarité de la phase stationnaire permet de distinguer deux situations de principe :

– si la phase stationnaire est polaire, on utilisera une phase mobile peu polaire la chromatographie est dite en phase normale ;

– si la phase stationnaire est très peu polaire, on choisira une phase mobile polaire ( le plus souvent des mélanges de méthanol ou d’acétonitrile avec de l’eau), c’est la chromatographie en phase inverse. En modifiant la polarité de la phase mobile, on agit sur les facteurs de rétention k des composés.

Les silices greffées conduisent en général à une perte importante de polarité. Avec une phase greffée, l’ordre d’élution est opposé à celui auquel on est habitué avec les phase normales. Ainsi avec un éluant polaire, un composé polaire migre plus vite qu’un composé apolaire. Dans ces conditions les hydrocarbures sont fortement retenus. On réalise des gradients d’élution en diminuant au cours de la séparation la polarité de l’éluant (ex : mélange eau /acétonitrile dont la concentration en acétonitrile va en croissant au cours de l’élution).

On peut, en mélangeant plusieurs solvants, ajuster le pouvoir d’élution de la phase mobile.

f) Détecteurs

Deux types de détecteurs sont classiquement utilisés

* détecteur UV-visible (celui que nous utilisons) : il mesure l’absorption de la lumière par le produit à la sortie de la colonne. E opère à longueur d’onde constante, celle-ci ayant été fixée par l’opérateur. La lampe Deuterium est utilisé pour des longueurs d’ondes variant de 190-350 nm et la lampe à vapeur de mercure est utilisé à la longueur d’onde non variable de 254 nm. Pour que ce type de détecteur soit utilisable, il faut que :

– le produit à détecter absorbe la lumière à une longueur d’onde accessible à l’appareil, et que son coefficient d’absorption e soit suffisamment grand ;

– la phase mobile n’absorbe pas la lumière à la longueur d’onde choisie par l’opérateur.

Figure 5: Principe du détecteur UV

* réfractomètre : il mesure la variation de l’indice de réfraction du liquide à la sortie de la colonne. Cette mesure, extrêmement précise, dépend néanmoins de la température du liquide. On compare cet indice avec celui de la phase mobile pure : il y a donc une référence d’où le terme de variation de l’indice. Ce détecteur exclut les variations de la composition de la phase mobile ; il n’est donc possible de travailler qu’en mode isocratique avec ce détecteur.

Les données sont collectées par l’intermédiaire soit d’un intégrateur ou d’une -station d’acquisition

III) Application de la chromatographie à l’analyse

1) Analyse des chromatogrammes

Une bonne séparation se traduira par une séparation distincte des pics correspondant à chacun des produits.

Un chromatogramme doit être parfaitement reproductible.

La composition de la phase mobile est un paramètre particulier à la HPLC. Il faut donc préciser pour chaque analyse :

– le type de colonne : marque, nature, diamètre, longueur, support…

– la nature de l’éluant : solvant, si c’est un mélange préciser sa composition, débit, mode de détection l en nm.

– la quantité injectée, le début de l’injection sur le chromatogramme, la sensibilité du détecteur, etc…

2) Analyse qualitative

Le temps de rétention (tR en min) est une caractéristique de chaque soluté dans les conditions opératoires fixées.

On peut comparer le tR de deux solutés en définissant :

– le facteur de sélectivité a entre les deux solutés :

– l’efficacité d’une colonne qui est mesure en nombre de plateau théorique :

Nombre de molécule sortant

de la colonne en fonction du temps

s : écart type : distance entre le point d’inflexion (point où la dérivée seconde s’annule) et la moitié de la courbe.

d : largeur du pic à mi-hauteur

w : largeur à la base (unité de temps)

n = nombre de plateaux théoriques :

HEPT (hauteur équivalente de plateaux théoriques)

HEPT = L/n (L = hauteur de colonne, n nombre de plateaux théoriques)

Résolution de la colonne pour la séparation de deux solutés bien déterminés.

R>1 bonne séparation

R<1 mauvaise séparation þ donc les paramètres appliqués à la colonne ne sont pas bons.

3) Analyse quantitative

Cette analyse est basée sur le fait que l’aire des pics chromatographiques est proportionnelle à la concentration ou à la quantité de produit analysé.

Méthode de l’étalonnage externe :

Il est nécessaire de disposer d’une quantité suffisante du produit afin de faire une courbe d’étalonnage Aire = f(masse ou concentration du produit), pour un volume injecté constant V. L’injection ultérieure du même volume V de l’échantillon à doser permet, à l’aide de la mesure de l’aire du pic reportée sur la courbe d’étalonnage, de connaître la masse ou la concentration recherchée. Cette méthode est plus précise que celle qui consiste à ne faire qu’une mesure avec l’étalon et à utiliser une règle de trois :

Ae/Me = Aet/met

A: Aire des pics

e : échantillon

et : étalon

m : masse du produit remplaçable par la concentration

Méthode des ajouts :

Comme la précédente, cette méthode nécessite de posséder le produit à analyser pur; après avoir analysé l’échantillon, on ajoute à celui-ci des quantité connues Dm du produit avant de le chromatographier à nouveau ( faire au minimum deux ajouts), ce qui entraîne une variation de l’aire du pic DA.

Si m est la masse contenue dans l’échantillon à analyser,

(DA/Dm) = a/m soit m= A*(Dm/DA)

Si le produit ajouté est en solution, il faut tenir compte des effets de dilution.

Méthode de l’étalon interne (utilisée essentiellement en CPG) :

On compare la réponse du ou des produits à analyser à celle d’un étalon interne, donc introduit dans le mélange à doser et convenablement choisi.

Une solution étalon est préparée avec le ou les produits que l’on veut doser. Les masses sont connues m’1, m’2, et … me pur l’étalon ; à ces masses correspondent les aires A’1, A’2, …, A’e, sur le chromatogramme.

Dans l’échantillon contenant les masses m1, m2, … de solutés on ajoute me de l’étalon, ce qui donne les aires A1, A2, Ae.

On obtient :

m’1 = a1 A’1

m’2 = a2 A’2

me = ae A’e

avec a coefficient de proportionnalité

et k1 = (a1/ae) = (m’1 A’e /me A’1)

d’où la valeur k1 puisque toutes les données sont connues.

Dans l’échantillon inconnu on aura :

m1 = a1 A1

me = ae Ae

(m1/me) = (a1 A1/ae Ae) = k1(A1/Ae)

me, k1, A1, Ae sont connus.

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L’appareil génital féminin/animation

Cette série d’animations interactives a pour but de montrer comment la muqueuse utérine et un follicule ovarien évoluent au cours du cycle féminin, de comprendre à quels moments du cycle une fécondation est théoriquement possible et d’observer comment agissent les contraceptifs

.reproduction.html


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Cours Biochimie

السلام عليكم

Cours Biochimie

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Introduction à la signalisation cellulaire

Introduction à la signalisation cellulaire
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Dans cette ressource nous nous focalisons sur les processus qui assurent la communication entre la cellule et son environnement. Cette communication est assurée par de nombreuses molécules informatives ; les (premiers) messagers qui, selon leur localisation et leur fonction majeures, peuvent être des neurotransmetteurs, des hormones, des cytokines (dont les facteurs de croissance) ou encore des composants de la matrice extracellulaire. La molécule informative est reconnue par un récepteur (protéine de liaison) situé à la surface ou à l’intérieur de la cellule. La fixation du messager induit un signal intracellulaire par un processus appelé « transduction du signal ». Les récepteurs et les signaux qu’ils transmettent, donnent à la cellule une représentation symbolique permanente de son environnement. Nous décrirons les modalités générales (phosphorylation et déphosphorylation, échange de nucléotides, ubiquitination, ouverture des canaux) par lesquelles ces signaux intracellulaires perturbent l’homéostasie cellulaire et imposent un changement pour ajuster l’activité de la cellule aux besoins de l’organisme entier

Le cour contient des informations sur:

  • تعليم_الجزائر Premiers messagers et récepteurs

  • تعليم_الجزائرتعليم_الجزائر Signalisation par les récepteurs membranaires

  • تعليم_الجزائرتعليم_الجزائر Signaux transmis par des récepteurs intracellulaires

  • تعليم_الجزائرتعليم_الجزائر Modifications impliquées dans la transduction du signal

  • Les différentes classes de récepteurs membranaires


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cours parasitologie 2eme année

PARASITOLOGIE

TP:2 LA TRYPANOSOMA GAMBIENSE
LE PLAN : – CLASSIFICTION
-CYCLE Evolutif
-CONTAMINATION
-Réparations GEOGRAPHIQUE
-TRAITEMENT
-PROPHYLAXIE

INTRODUCTION:
La trypanosoma africain ou maladie de sommeil est une protozoaire touchant le système nerveux .aujourd’hui encore la protozoaire fait environ 1 million de victime à Afrique centrale et de est ou approximativement 20000nauveaux cas sont déclarés chaque année la maladie du sommeil est causée trypanosoma gambiense et trypanosoma rhodesiense dans ce rapport on étude la trypanosoma gambiense.
CLASSIFICATION:
Règne………………….Protozoaire
Embranchement………Sarcomastigophora
Sous embranchement…Mastigophora
Ordre…………………..Trypanosomatida
Famille……………… Trypanosomatidae
Genre…………………..Trypanosoma
Espèce…………………. Trypanosoma gambiense
CYCLE EVOLUTIF :
1) Chez l’hôte vertébré:
Le parasite apparaît sous forme trypomasgote, d’une forme allongée et possèdent gros noyau central. Et petit élément postérieur appelé KINÉTOPLASTE situé à l’arrière du noyau et membrane ondulante logeant et flagelle libre à partir de l’extrémité antérieure. Le corps cellulaire (15-20 µm). Il mobile dans le sang du vertébré. Les ganglions, les lymphatique, le tissu nerveux (figure 1).

Fig:1 trypanosome gambiense
2) chez le vecteur:
Insecte diptère (mouche Tsé Tsé) mâle et femelle sont hématophage genre GLOSSINA. Le parasite développement dans la tube degestif de la glossine, dans l’estomac de la glossine les formes trypanosomes transformées à forme épimastigote qui se multiplient traversent sont la membrane péri trophique et gagnent les glandes salivaires puis transformation en forme méta cyclique infectieuse piqûre d’LHD sain.
La infection des trypanosomes avec la salive, multiplication par voie sanguine vers SRE ganglions après quelque mois fragilisation de la barrière méningée et passage de trypanosomes dans la système nerveux central persistance fluctuante des formes trypanosomes sanguines.

Fig:2 cycle évolutif de trypanosome gambiense
CONTAMINATION La contamination se fait par piqûre les glossines infectées qui déchargement entre leur trompe et libérées les trypanosomes infectant au niveau de la plaie le sang de l’homme aussi, contagieux par connaît nouvelle cas des contamination les trypanosomiase transfuionelle par plusieurs moyens.
GLOSSINE

HOMME MALADE LE SANG CANTAGIEUX HOMME SAIN
PAR ACCIDENT DE LABORATOIR

RÉPARTITION GÉOGRAPHIQUE
L’air de tropanosomiase à trypanosoma gambiense:Afrique centrale, Cameroun, Gabon, zaïre, Togo, côte d’Ivoire.
TRAITEMENT
Le traitement contre la maladie du sommeil à baser d’antiparasitaire est d’autant plus efficace qu’il est commencé tôt-d’où l’importance d’un diagnostic précoce.
Le diagnostic repose sur la recherche de parasite dans l’organisme dans le sang, le liquide céphalo-rachidien pour déterminer la phase de la maladie dans la quelle se trouve patient.
L’hospitalisation obligatoire,il existe deux types de traitement à base de molécules antiparasitaires différentes selon la stade de la maladie. En phase de généralisation. Le traitement est efficace pressente peu effets secondaires et conduits à la guérison séquelles. Au stade de la polarisation est plus toxique pour l’organisme et s’accompagne d’important effets secondaires généralement on utilise le MELASOPROL (ARSOBAL ®) quelque soit le stade évolutif de la maladie.

PROPHYLAXIE
Il n’y a de prophylaxie individuelle, la prophylaxie collective se fait soit par:
-DÉPISTAGE ET TRAITEMENT DES MALADIES : cette méthode est efficace et à fait ses preuves.
LA SURVEILLANCE DES FOYERS: doit être constante et les nouveaux cas doivent être traités rapidement pour éviter toute reprise en dermique la lutte contre le vecteur nécessite l’utilisation d’insecticides ou la capture des mouches au même par prophylaxie agronomique par destruction de la végétation qui favorise la pillulation des glossine.


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Une allergie alimentaire peut-elle affecter notre système immunitaire

Une allergie alimentaire peut-elle affecter notre système immunitaire


L’allergie alimentaire, qui peut provoquer des troubles gravissimes, est un réaction d’hypersensibilité à un allergène contenu dans l’aliment. En principe, tous les aliments peuvent être allergisants. Les plus fréquents sont les arachides, le lait de vache, les oeufs, les poissons et les additifs alimentaires.


Quand l’allergène pénètre dans l’organisme, il y a, de la part de celui-ci, production d’anticorps spécifiques de la classe des immunoglobulines E (IgE). Ces IgE sont produites par les lymphocytes B. Ces IgE se fixent sur la surface de nos mastocytes dont le médiateur est l’histamine.


C’est la sensibilisation.(Étape n°1)


Quand l’organisme se retrouve une seconde fois en contact avec l’allergène, l’anticorps fixé à la surface des mastocytes le captent, et il se déclenche un signal qui provoque la libération d’histamine. Il se produit une réaction d’hypersensibilisation. (Étape n°2)


L’organisme a gardé en mémoire l’allergène et réagira toujours par un mécanisme de défense antigènes-anticorps. Avec les troubles que cela comportent.


Alors on peut dire que l’introduction d’un aliment allergisant modifie le système immunitaire qui se souvient définitivement qu’il doit combattre une certaine substance alimentaire, qui, d’ailleurs, peut quelque fois être masquée, ce qui rend sa mise en évidence difficile