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Acheminement des protéines

Acheminement des protéines vers la membrane (face cytoplasmique), le peroxysome, la mitochondrie ou le noyau
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Dans cette ressource, nous nous focalisons sur les processus qui assurent l’acheminement vers leurs cibles respectives des protéines traduites par les ribosomes « libres » et destinées à la membrane (face interne), au peroxysome, à la mitochondrie ou au noyau. Ces protéines restées dans le cytoplasme à l’issue du premier tri vont être progressivement dirigées vers leur site définitif grâce à un étiquetage fourni par des séquences amino acidiques précises, les peptides de destination. Ces peptides sont reconnus par des récepteurs qui assurent donc la sélectivité d’orientation. Le passage de la protéine à l’intérieur de la mitochondrie ou du peroxysome est assuré par des transporteurs protéiques (qui forment un canal d’environ 2 nm), assistés par de nombreuses protéines chaperonnes. Ces dernières gardent les protéines en transit dans l’état déplié nécessaire à leur passage par l’étroit canal. De plus, par des mécanismes encore mal compris, elles favorisent le passage en hydrolysant l’ATP (transport actif). En revanche, les protéines et les ARN, collectivement nommés « charge », traversent l’enveloppe nucléaire dans leur état replié et même parfois sous forme de grands complexes (tels le ribosome). La sélectivité du transport à travers l’enveloppe nucléaire est assurée par de nombreux
récepteurs, et son orientation est déterminée par la GTPase Ran

Le cour contient des informations sur:

  • Acheminement post-traductionnel des protéines : deuxième tri
  • تعليم_الجزائرMécanismes de l’ancrage à la membrane (coté cytoplasmique)
  • تعليم_الجزائرتعليم_الجزائر Mécanismes de l’import des protéines dans les organites

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TP 2ème année module taxoanimal

TP DEUXIÈME ANNEE BIOLOGIE

MODULE TAXOANIMAL

1ER TP:COMPARAISON ENTRE MICROSCOPE OPTIQUE ET ELECTRONQUE.

2EME TP: ETUDE MORPHOLOGIQUE DE QULQUES PROTOZOAIRES (AMOEBA PROTEUR, FORAMINIFÉRES, VORTICELLA, PLASODIUME).

ETUDE MORPHOLOGIQUE DE QULQUES PROTOZOAIRES (AMOEBA PROTEUR, FORAMINIFÉRES, VORTICELLA PLASODIUME).

Le plan: introduction (chaque espèce)

Observation (chaque espèce)

Classification (chaque espèce)

Conclusion



1-AMOEBA PROTEURS

-les amibes sont des organismes unicellulaires. Cette espèce vive dans les eaux douces et à la surface de la vase des mares stagnantes, de taille variée 300 -500 Mm.

-le corps nu dépourvu de thèque protectrice. Les amibes se déplacent en émettant des pseudopodes qui participent aussi a la nutrition, leur nourriture se compose de bactéries, petits crustacés et rotifères.

-OBSERVATION:


OBSERVATION MICROSCOPIQUE D’UN AMOEBA PROTEURS (G:10×10)

CLASSIFICATION:

Règne : Animal

Sous règne : Protozoaires

Phylum : Sarcomastigophora

Sous phylum : Sarcodina

Classe : Lobosea

Sous classe : Gymnamoebia

Ordre : Amoebida

Genre : Amoeba

Espèce : Amoeba porteurs





2-FORAMINIFERES

-Les foraminifères sont des rhizopodes marins de taille variée (5 µm) pourvus d’une coquille généralement calcaire comportant une seule loge (unicellulaire) ou plusieurs loges (pluricellulaire)

– des pseudopodes fins, grêles et ramifiés (filipodes) sortent une seule ouverture de la coquille (foraminifères unis perforés) ou par plusieurs ouverture (foraminifères perforés). Ces filipodes servant au déplacement et a la prise de nourriture, leur nourriture se compose principalement de bactéries et diatomée (algue……).

-OBSERVATION:


OBSERVATION MICROSCOPIQUE DES FORAMINIFÈRES (G:10×10)

CLASSIFICATION:

Règne : Animal

Sous règne : Protozoaires

Phylum : Sarcomastigophora

Sous phylum : Sarcodina

Classe : Grauloreticlosea

Sous classe : Gymnamoebia

Ordre : Foraminierida

Genre : Foraminierida sp



3-VORTICELLA SP

Protozoaire cilié d’eau douce vivant fixé. Les vorticelles ont une forme de cloche renversée qui est portée par un pédoncule contractile. Elle une frange adorale droite auteur d’un vaste disque ou s’ouvre le cytosine. Les vorticelles restent souvent liées ces unes aux autre constituant des colonies et lors d insuffisance alimentaire, sont séparées puis chaque individu constitué une nouvelle colonie quand les conditions seront favorables.

-OBSERVATION:


OBSERVATION MICROSCOPIQUE D’UNE VORTICELLA SP (G:10×10)

CLASSIFICATION:

Règne : Animal

Sous règne : Protozoaires

Phylum : Ciliés *Ciliophora*

Classe : Holotriches * Holotricha*

Ordre : Péritriches * Péritrichida*

Genre : Vorticella

Espèce : Vorticella sp

4-PLASMODIUM

Plasmodium sp est un protozoaire parasite des vertébrés et ou invertébrés, hétéroxène.il est transmise par piqûre d’insecte hématophage après un très courte passage dans le sang (1/2 heurs)

Les cellules hépatiques dans les quelles il pénètre et se multiplie, puis les hématies.

-OBSERVATION:


OBSERVATION MICROSCOPIQUE D’UNE PLASMODIUM SP (G:10×10)



CLASSIFICATION:

Règue : Animal

Sous règne : Protozoaires

Phylum : Sporozoaires

Classe : Sporozoea

Sous classe : Coccidia

Ordre : Eucoccidida

Genre : Plasmodium

Espèce : Plasmodium sp



ETUDE MORPHOLOGIE DU

* VER DE TERRE*

-lombric, nom donné à plus mille espèce devers d’une classe de l’embranchement des annélides.généralement c’est une espèce n’atteint quelque centimètres.Lombric ou ver de terre plus important pour l’équivalente écologique surtout au niveau de terre…… (Continue l’introduction).

OBSERVATION:

Cet animal terrestre fouisseur correspond à un des vers de terre de nos régions. Son corps mou de couleur rosée, allongé qui compte 150 segments semblables. Est formé d’une centaine d’annaux environ l’extrémité effilée correspond à la partie antérieur Óu s’ouvre la bouche, la région postérieure, légèrement aplatie, porte l’anus.

-L’observation, par transparence à travers le tégument (la peau), d’une ligne rouge constituée par un vaisseau sanguin, indique la face dorsale da la animal.

-Une zone renflée, suitée à la fin du premier tiers antérieur du corps correspond à la selle (ou clitellum) dont le rôle dans la reproduction est important.

-La face ventrale porte des soies (quatre paires par anneau) leur présence est attestée par le bruit que un ver de terre posé sur une feuille de papier ou bien en passant le doigt sur le ventre de la animal .

-Elle lui permet de prendre appui sur le sol de sec déplacement qui s’effectuent en une succession de racornissement et d’allongements corporels.

-Le lombric se nourrit essentiellement à partir de débris organique présent dans le sol ou il creuse des galeries.

L’ingestion de terre est suivie, après digestion d’une évacuation des parties non assimilables sous la forme de tortillons visibles à la surface du sol.

-Le tégument mince est maintenu, humide par une production de mucus, ce qui permet une respiration cutanée, le vers de terre n’ayant, ni branchies, ni poumons, si la peau se dessèche. Le ver meurt asphyxié. Ce mucus lui permet également humidifier les galeries qui’il creuse. Le lombric est un hermaphrodite.


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le cytosquelette


le cytosquelette

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Les spécialités en Biologie LMD à l’Université de Biskra

Les spécialités en Biologie LMD à l’Université de Biskra
– Biochimie et Biologie moléculaire
– Biologie cellulaire et génétique
– Biodiversité et Physiologie Végétale


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Détermination des microbe

Exemple de méthode utilisée pour une détermination des microbes
[web]http://svt.ac-rouen.fr/biologie/microbes/pages/determ.htm[/web]


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coloration des capsules

coloration des capsules

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Acheminement des protéines à travers le réticulum endoplasmique et le Golgi

Acheminement des protéines à travers le réticulum endoplasmique et le Golgi
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Dans cette ressource nous nous focaliserons sur les processus de maturation et de tri des protéines synthétisées sur des ribosomes associés à la membrane du réticulum endoplasmique, processus qui permettent de comprendre comment les protéines transitent par le RE et le Golgi vers leurs sites spécifiques de destination. Nous verrons que c’est la nature de la protéine elle-même qui détermine sa destination grâce à la présence de séquences peptidiques spécifiques (étiquettes), de longueur variable (3 à 30 acides aminés). Dans un cas particulier, l’étiquette est un glucide phosphaté. Ces séquences ou ce glucide, sont reconnus par des récepteurs spécifiques qui dirigent leur charge vers le compartiment cellulaire suivant. Le transport entre les compartiments est assuré par des vésicules membranaires, ce qui implique un très actif processus de fission suivi de fusion. Enfin, nous montrerons comment les multiples voies d’exocytose et endocytose sont à la base d’un intense trafic entre le pôle trans-golgien, les lysosomes et la
membrane plasmique
  • Le cour contient des informations sur
  • Acheminement vers le réticulum endoplasmique (REr)
  • تعليم_الجزائر Le passage par le RErugueux : modification co-traductionnelle et repliement des protéines

  • تعليم_الجزائرتعليم_الجزائر Le passage du REr au réseau trans-golgien : les principes du transport vésiculaire
  • تعليم_الجزائرتعليم_الجزائر Un premier transit : du REr au Golgi par l’intermédiaire du compartiment ERGIC
  • تعليم_الجزائرتعليم_الجزائر Un deuxième transit : passage au travers du Golgi
  • تعليم_الجزائرتعليم_الجزائر La glycosylation dans le Golgi
  • تعليم_الجزائرتعليم_الجزائر Troisième transit : tri vers les différents compartiments, lysosome primaire et vésicule de sécrétion
  • تعليم_الجزائرتعليم_الجزائر Les voies d’endocytose
  • تعليم_الجزائرتعليم_الجزائر Les endosomes

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La numération formule sanguine -NFS

Les hématies ou globules rouges :
( 3.5 à 5.5 millions). Cet examen isolé oriente vers une anémie (pas assez de globules) ou une polyglobulie (trop de globules). Il permet aussi de voir si il y a des formes anormales (poïkilocytes, schizocytes, hématies falciformes).

L’hémoglobine :
(11 à 16g) une hémoglobine trop basse (inférieure à 10.5g) permet d’établir un diagnostic d’anémie.

L’hématocrite :
(37 à 47%) elle donne la concentration en hémoglobine dans le sang, elle est abaissée dans les anémies, elle est augmentée en particulier chez les consommateurs d’EPO.

Le VGM ou volume globulaire moyen
( 80 à 95). Il mesure la taille moyenne du globule rouge. Ce volume diminue dans les anémies chroniques par saignement ou manque de fer. Il augmente dans les anémies par carence en vitamine, par mauvaise absorption alimentaire du tube digestif. Il augmente aussi dans la consommation chronique de tabac ou d’alcool.

Les CCMH et TCMH
respectivement “concentration corpusculaire moyenne en hémoglobine” et “taux corpusculaire moyen en hémoglobine” n’ont pas d’intérêt diagnostic sinon que le CCMH bas confirme une hypochromie (manque de fer).

Les réticulocytes. (25.000 à 75.000)
Ce sont des hématies très jeunes. Quand leur taux est élevé, elles signalent que la moelle osseuse fabrique beaucoup de globules et régénère des pertes de sang. En cas d’anémie, si les réticulocytes n’augmentent pas, c’est que la moelle osseuse dysfonctionne et est en cause dans cette anémie.

Les leucocytes ou globules blancs. (1000 à 3500)
Leur mesure sert à s’assurer comme les globules rouges, d’un nombre anormal de leucocytes, ou de formes anormales.
Trop de leucocytes peut correspondre à une inflammation ou à une maladie de type leucémie (beaucoup plus rare). Les formes anormales que l’on appelle des blastes font craindre une leucémie, mais toutes les leucémies ne sont pas graves.
Les leucocytes sont classés en:

polynucléaire neutrophiles :
(2000 à 7500 chez l’adulte) leur élévation importante signe une infection type sinusite, appendicite etc… mais ils augmentent aussi chez le tabagique, sous traitement corticoïde, ou dans certaines leucémies.

polynucléaires éosinophiles :
(inf. à 650) leur élévation signe des terrains allergiques, des terrains colitiques, des parasitoses (oxyures, vers solitaire)

polynucléaires basophiles
(inf. à 200) leur augmentation se rencontre dans certaines leucémies, dans les cirrhoses et les problèmes thyroïdiens.

lymphocytes
(1000 à 4000 chez l’adulte ) Leur augmentation se constate dans beaucoup de maladies virales (coqueluche, oreillons, brucellose, grippe etc…) mais aussi dans les leucémies.

monocytes
(200 à 1000) leur nombre augmente dans certaines maladies comme la mononucléose, après une anémie et dans certaines leucémies.


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Contrôle de qualité des données bouteilles à l’Institut Maurice-Lamontagne

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bonne chance a tous