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Quelques parametres biochimique


LA GLYCEMIE
Elle doit être dosée à jeun, mais le diagnostic de diabète peut nécessiter un dosage de la glycémie à la suite d’un repas ou plusieurs dosages successifs après l’absorption de 75 grammes de sucre ; c’est l’ « hyperglycémie provoquée par voie orale ».
La glycémie peut aussi être mesurée au moyen de bandelettes réactives après s’être piqué l’extrémité d’un doigt à l’aide d’une pointe spéciale. Cette technique est +fort utile pour le diabétique, qui doit contrôler fréquemment sa glycémie, car elle peut être pratiquée à la maison, sans l’aide d’une tierce personne (index, Diabète).
Taux normal (glycémie à jeun) : 0,8 à 1,1 g / l, c’est-à-dire 4 à 6,1 mmol / l.

L’ACIDE URIQUE
L’acide urique est l’un des déchets de la décomposition des protéines dans l’organisme. Le taux d’acide urique dans le sang est élevé dans la goutte et dans l’insuffisance rénale (index, Nephro-urologie).
Taux normal : – femme : 20 à 60 mg / l, soit de 90 à 360 micromol / l ; – homme : 25 à 70 mg / l, soit de 149 à 416 micromol / l.

LE TAUX DE PROTHROMBINE
Cet examen permet de tester le bon fonctionnement de certains facteurs de la coagulation. Ils sont abaissés en cas de maladie hépatique et lorsqu’un malade prend des médicaments anticoagulants par voie orale. C’est, dans ce cas, l’examen de choix pour contrôler l’efficacité du traitement. Le taux de prothrombine, ou « T.P. », doit alors être strictement compris entre 25% et 35%, alors qu’il est normalement supérieur à 70%. S’il est inférieur à 25%, il y a risque d’hémorragie, et s’il est supérieur à 35%, le traitement n’est plus suffisamment efficace.

L’UREE
Elle provient de la destruction des protéines, et s’élimine par le rein (index, Physiologie du rein). Elle peut donc augmenter si ce dernier ne fonctionne pas bien, ou en cas de destruction trop importante de protéines (comme dans les brûlures étendues).
Taux normal : 0,15 à 0,50 g / l.

LE CALCIUM
Le calcium doit rester à un taux fixe dans le sang. Une variation fait suspecter une maladie osseuse (index, Rhumatologie), rénale (index, Néphro-urologie), endocrinienne (index, Endocrinologie) ou de mauvais apports en vitamine D.
Taux normal : 90 à 105 mg / l, c’est-à-dire de 2,2 à 2,6 mmol / l.

LE TEMPS DE CEPHALINE KAOLIN
C’est un test destiné à étudier la coagulation. Les résultats sont donnés par comparaison avec un sujet témoin exempt de toute maladie. Il est notamment utilisé pour surveiller un traitement anticoagulant par héparine (injections intraveineuses) ou calciparine (injections sous-cutanées) : ce temps doit alors être deux ou trois fois supérieur à celui du témoin.

LE CHOLESTEROL ET LES LIPIDES
Le sang contient 5 à 7 grammes de lipides par litre. Ces lipides sont liés à des molécules spéciales de protéines, les lipoprotéines, qui sont chargées de les transporter. On distingue quatre types de lipoprotéines : – les chylomicrons, riches en triglycérides ; – les VLDL (Very Low Density Lipoproteins) ou lipoprotéines de très basse densité, ou pré- Béta-lipoprotéines, également riches en triglycérides ; – les LDL ( Low Density lipoproteins) ou lipoprotéines de basse densité, que l’on appelle aussi « Bêta-lipoprotéines », transportant la majeure partie du cholestérol ; le LDL-cholestérol est souvent appelé le « mauvais » cholestérol, car son augmentation est constante en cas d’athérome ; – les HDL (High Density lipoproteins) ou lipoprotéines de haute densité ou encore Alpha-lipoprotéines, transportant surtout des phospholipides et un peu de cholestérol ; le HDL-cholestérol est considéré comme le « bon » cholestérol, car il protège les artères contre l’athérome.

Les taux normaux : – lipides du sang : 5 à 7 g / l.
Cet examen n’est guère significatif, car il apporte peu de renseignements sur la répartition des lipides.

LE CHOLESTEROL
Les valeurs usuelles du cholestérol sont variables, puisqu’elles vont de 1,40 à 2,50 g / l (3,61 à 6,45 mmol / l) : – HDL-cholestérol : 0,4 à 0,5 g / l ou 1 à 1,3 mmol / l ; – LDL-cholestérol : doit être inférieur à 2 g / l ou à 5 mmol / l ;
Il y a hypercholestérolémie si le taux de cholestérol sanguin est supérieur à 2,60 g / l, ou bien à 6,7 mmol / l (2,80 g / l chez l’adulte de plus de soixante ans).

LES TRIGLYCERIDES
Les triglycérides sont comme le cholestérol des corps gras présents dans le sang. Leur dosage peut s’avérer élevé dans une alimentation déséquilibrée, en particulier si l’on consomme trop de sucre, d’alcool, ou simplement si la personne est trop grosse. Enfin, cet examen doit être régulièrement effectué en cas de prise de pilule. – triglycérides : 0,30 à 1,40 g / l ou 0,33 à 1,58 nmol / l. Il y a hypertriglycéridémie nette lorsque le taux dépasse 2 g / l.

LA CREATININE
C’est le « miroir » du fonctionnement rénal. Elle est normalement élevée chez les personnes très musclées ou en cas de maladie musculaire.
Taux normal : 5 à 12 mg / l, c’est-à-dire de 45 à 110 mol / l.

L’IONOGRAMME
C’est le dosage des principaux « ions » du sang. Il existe des éléments chargés positivement, les cations, et des éléments chargés négativement, les anions. Ils doivent être en état d’équilibre.
On dose le sodium, le potassium, le chlore et les bicarbonates. Un trouble de cet équilibre peut être constaté dans nombre de maladies (rénales, par exemple) ou après la prise de certains médicaments (les diurétiques). La surveillance de l’ionogramme est essentielle en réanimation, lorsque le malade est réhydratée par des perfusions intraveineuses. L’ionogramme permet de mesurer l’importance de la réhydratation ou de la déshydratation et de « remplir » le patient en conséquence.
Taux normaux : – sodium (Na+) : 142 mmol / l ; – potassium (K+) : 5 mmol / l ; – calcium (Ca+ +) : 2,5 mmol / l ; – magnésium (Mg+ +) : 1,5 mmol / l ; – chlore (Cl–) : 103 mmol / l ; – bicarbonates (HCO3–) : 27 mmol / l ; – phosphates (HPO4 ¬ ¬) : 1 mmol / l.

L’HCG
La ganadotrophine chorionique ou hormone chorionique gonadotrope (HCG) est une hormone dont le taux s’élève rapidement dans le sang et les urines lors de la grossesse. Son dosage permet d’en suivre l’évolution dès les premiers jours après la fécondation : – en l’absence de grossesse, le taux est inférieur à 5 U / l ; – 4e semaine d’aménorrhée : 1 500 U / l ; – 6e semaine d’aménorrhée : 28 000 U / l ; – 8e semaine d’aménorrhée : 94 000 U / l ; – 12e semaine d’aménorrhée : 57 000 U / l ; – 17e semaine d’aménorrhée : 18 000 U / l ; – au cours du 2e et du 3e trimestre : le taux se maintient entre 10 000 et 30 000 U / l.

L’ELECTROPHORESE
Pour distinguer les protéines les unes des autres, on réalise un examen spécial appelé électrophorèse. Si l’on applique un courant électrique aux protéines du sang, on observe une séparation des différentes protéines, ce qui permet de les doser. En pratique, le prélèvement est déposé sur une bande de papier spécial (acétate de cellulose), à laquelle est appliqué un champ électrique. Les protéines se déplacent le long de ce papier ; il suffit à la fin d’appliquer un colorant pour voir apparaître des bandes plus ou moins foncées et larges en fonction de la concentration de chaque protéine. Toutes ces opérations sont réalisées
automatiquement aujourd’hui.

LES DIFFERENTES PROTEINES
– L’albumine diminue chez les personnes âgées et pendant la grossesse. Elle diminue également lorsque l’alimentation est pauvre en protéines (index, Alimentation), lors des maladies hépatiques (index, Gastrologie), lors des hémorragies graves, des maladies rénales (index, Néphrologie), des diarrhées chroniques. – Les alpha1 et alpha2-globulines augmentent au cours de la grossesse, lors des maladies infectieuses, des collagénoses, des maladies rénales (index, Néphrologie), des infarctus du myocarde, des fractures osseuses (index, Traumatologie). – Les bêtaglobulines augmentent lorsqu’il existe des anomalies des graisses de sang, lors des maladies hépatiques et lors des maladies rénales. – Les gammaglobulines augmentent dans un grand nombre de maladies, en particulier les maladies infectieuses et parasitaires, le sida, les affections rénales, rhumatologiques, les cancers et les maladies sanguines.

LES IMMUNOGLOBULINES
Ce sont des protéines spéciales, appartenant à la classe des gammaglobulines, et qui sont responsables de l’activité anticorps (index, Immunologie). On dose les immunoglobulines chaque fois que l’on constate une anomalie dans le dosage des gammaglobulines, ou lorsque l’on recherche une maladie spécifique.
On distingue cinq catégories d’immunoglobulines : – les Immunoglobulines G ou IgG – les Immunoglobulines A ou IgA – les Immunoglobulines M ou IgM – les Immunoglobulines D ou IgD – les Immunoglobulines E ou IgE
Des sous-classes : certaines de ces classes peuvent encore être subdivisées en plusieurs sous-classes (on distingue ainsi les IgG1, G2, G3, G4).

Taux normaux :
Les Immunoglobulines G représentent 80% des immunoglobulines et leur augmentation est constante dans la plupart des maladies infectieuses, ainsi que celle de la plupart des immunoglobulines, selon des modalités qui vous sont expliquées dans le chapitre consacré à l’immunologie. Mais les Immunoglobulines E sont, quant à elles, augmentées surtout lors des réactions allergiques telles celles que manifestent un asthme ou un eczéma.


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Techniques de l’ingénieur pour les CQA

بسم الله الرحمن الرحيم
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Controle qualité et analyses

Technique de l’ingénieur
I- Agroalimentaire agroalimentaire

معالجة المياه eau 1

التغليف emballage

تخزين المياه eau 2

توزيع المياه eau 3

وحدات القياس unités

cahier des charges

iso 14000

choix de l’emballage

الاغلفة البلاستيكية emballage plastique

emballage 2

مكونات كيميائية للمواد الغذائية composition chimique des aliments

مياه صالحة للشرب alimentation en eau potable


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Lexique de l alphabet n biochimie


Magnésium (Mg2+)

Ion métallique présent dans toutes les cellules, essentiel dans de nombreuses réactions biochimiques. Il est particulièrement abondant dans les os. Les céréales, les noix, les légumineuses et les légumes verts sont de bonnes sources de magnésium.

Maladie héréditaire

Maladie résultant d’une mutation d’un gène.

Maltose

Disaccharide constitué de deux molécules de glucose unies par une liaison glycosidique. Glucide formé principalement au cours de la digestion de l’amidon.

Manganèse (Mn2+)

Ion métallique requis par certaines métalloenzymes, telle la pyruvate carboxylase. Les céréales, les noix, les fruits et les légumes verts sont des sources de manganèse.

Mannose

Monosaccharide (ose) de la famille des aldohexoses.

Médiateur chimique

Molécule produite par une cellule et agissant sur une autre cellule possédant un récepteur spécifique de ce médiateur.

Membrane plasmique

Membrane cellulaire externe. Elle est composée d’une double couche de lipides (principalement des phospholipides, mais également du cholestérol et des glycolipides) dans laquelle sont insérées diverses protéines (tels des récepteurs, des transporteurs et des enzymes). La perméabilité de la membrane plasmique est sélective : les molécules liposolubles et les gaz la traversent facilement, tandis que seulement certaines molécules hydrosolubles la traversent grâce à des transporteurs spécifiques de chacune d’elles.

Métabolisme

Ensemble des réactions couplées se produisant dans les cellules de l’organisme. Il permet soit d’extraire l’énergie des nutriments (catabolisme), soit de synthétiser les constituants nécessaires à la structure et au bon fonctionnement des cellules (anabolisme).

Métalloenzyme

Enzyme ayant un ou plusieurs ions métalliques associés à leur structure protéique et essentiels à leur activité catalytique ou au maintien de leur structure tridimensionnelle.

Mitochondrie

Organite délimité par deux membranes. Les mitochondries sont localisées dans le cytoplasme des cellules et elles jouent un rôle important dans le métabolisme énergétique cellulaire, puisqu’elles sont le site de synthèse de la majorité de l’ATP et aussi de la respiration cellulaire. Elles contiennent plusieurs enzymes catalysant des réactions d’oxydoréduction, la chaîne respiratoire et le mécanisme de la phosphorylation oxydative.

Mitose

Processus de division cellulaire au cours duquel les chromosomes d’une cellule sont dupliqués et répartis de façon identique dans les deux cellules formées.

Molécule

Ensemble d’atomes unis les uns aux autres par des liaisons chimiques.
Molécule phosphorylée
Molécule à laquelle un ou plusieurs groupes phosphates est lié, à la suite du transfert d’un ou plusieurs groupes phosphoryles par une kinase.

Monomère

Molécule libérée lors de l’hydrolyse d’un polymère, tels le glucose et les acides aminés. Également, autre terme désignant une sous-unité.

Monosaccharide

Ose. Glucide le plus simple, non hydrolysable. Les monosaccharides sont de deux types : les aldoses et les cétoses. On les distingue également selon le nombre d’atomes de carbone dans leur structure chimique, tels les trioses, les pentoses et les hexoses. Les principaux monosaccharides sont le glucose, le fructose et le mannose. Ils ont tous la même formule chimique (Cn(H2O)n), mais des configurations différentes.

Mutation

Modification transmissible, spontanée ou provoquée, d’un gène.

Myoglobine

Protéine musculaire à laquelle est associée une molécule d’hème. Elle sert au transport de l’oxygène et à sa mise en réserve dans les muscles


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Lexique de l alphabet l biochimie

Lactase
Enzyme intestinale, de la famille des hydrolases, catalysant l’hydrolyse du lactose en glucose et en galactose.
Lactate
Forme ionisée de l’acide lactique. Produit final de la glycolyse anaérobie. Le lactate dans le sang est capté par divers organes ou cellules de l’organisme humain. Dans le foie, il sert à synthétiser du glucose et dans le coeur, il est oxydé en gaz carbonique (CO2) en même temps que de l’énergie est libérée. Il existe deux isomères optiques du lactate. Dans l’organisme, c’est le L-lactate qui est produit et métabolisé.
Lactate déshydrogénase
Enzyme, de la famille des oxydoréductases, catalysant la réduction du pyruvate en lactate et l’oxydation du NADH en NAD+. La réaction est réversible. L’enzyme est constituée de quatre sous-unités de deux types : les sous-unités H (heart / coeur) et M (muscles). Il existe cinq isoenzymes de la lactate déshydrogénase : MMMM (M4), MMMH (M3H), MMHH (M2H2), MHHH (MH3) et HHHH (H4).
Lactose
Disaccharide constitué d’une molécule de galactose unie à une molécule de glucose par une liaison glycosidique. Glucide se trouvant dans le lait.
Lécithine
Phosphatidylcholine.
Leucocyte
Globule blanc. Cellule du sang jouant un rôle essentiel dans le système immunitaire, donc dans la lutte contre les infections et les cancers.
Lévogyre
Propriété d’une molécule de faire dévier le plan de polarisation de la lumière polarisée vers la gauche.
Liaison ester (-COOC-)
Liaison entre un groupe alcool (-OH) et un groupe acide carboxylique (-COOH), formée par élimination d’une molécule d’eau (H2O).
Liaison glycosidique (-C-O-C-)
Liaison entre deux groupes hydroxyle (-OH) de deux monosaccharides, formée par élimination d’une molécule d’eau (H2O).
Liaison peptidique (-CONH-)
Liaison entre le groupe amine (-NH2) d’un acide aminé et le groupe acide carboxylique (-COOH) d’un autre acide aminé. Elle est formée par élimination d’une molécule d’eau (H2O).
Liaison pyrophosphate (-P-O-P-)
Liaison phosphoanhydre. Liaison à haut potentiel énergétique entre deux groupes phosphates.
Ligand
Molécule pouvant se lier de façon non covalente à un récepteur ou à un site spécifique sur une protéine.
Ligase
Enzyme catalysant l’union de deux molécules tout en hydrolysant une liaison pyrophosphate à haut potentiel énergétique. La pyruvate carboxylase est une ligase.
Lipides
Famille hétérogène de molécules organiques insolubles dans l’eau et autres solvants polaires, mais solubles dans des solvants non polaires, tels le chloroforme ou l’éther. Les principaux lipides sont : les triacylglycérols, les phospholipides, les acides gras et le cholestérol.
Lumière polarisée
Polarisation.
Lyase
Enzyme catalysant la rupture d’une liaison chimique par un autre moyen que l’hydrolyse ou l’oxydation. L’aldolase est une lyase.



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Introduction a la pharmacologie

INTRODUCTION A LA PHARMACOLOGIE

Professeur Hervé ALLAIN
Faculté de Médecine
Université de Rennes 1

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Lexique de l alphabet i biochimie


Ictère
Quantité anormalement élevée de pigments biliaires dans le sang entraînant une coloration jaune anormale de la peau et des muqueuses : la jaunisse. Il est souvent attribuable à une maladie hépatique.
Ictère hémolytique
Ictère attribuable à une destruction (hémolyse) excessive des érythrocytes.
Inhibition
Diminution de l’activité d’une enzyme ou de la vitesse d’une voie métabolique.
Inosine
Nucléoside, de la famille des purines, constitué de l’hypoxanthine unie au ribose.
Intermédiaire
Produit d’une réaction qui est un substrat d’une autre réaction. L’intermédiaire fait en sorte que ces deux réactions sont couplées.
Interphase
Période entre deux divisions cellulaires.
Ion bicarbonate (HCO3-)
Forme ionisée de l’acide carbonique (H2CO3) résultant de l’hydratation du gaz carbonique (CO2) par l’anhydrase carbonique. Anion constituant la réserve alcaline du sang.
Irréversible
Réaction irréversible.
Isoenzymes
Isozymes. Les diverses formes moléculaires d’une même enzyme. Elles catalysent la même réaction biochimique, mais chacune possède des propriétés physiques, chimiques et cinétiques particulières. La nature ou la proportion des isoenzymes d’une même enzyme varie d’un tissu à un autre. Par exemple, il existe cinq isoenzymes de la lactate déshydrogénase.
Isomérase
Enzyme catalysant un réarrangement intramoléculaire entraînant la transformation d’isomères, principalement des isomères de fonction, telle la glucose-6-phosphate isomérase, ou des isomères de position, telle la phosphoglycérate mutase.
Isomères
Molécules ayant la même formule structurale brute mais des structures moléculaires développées différentes. Il existe différents types d’isomères : isomères de fonction, isomères de position, isomères stériques et isomères optiques.
Isomères de fonction
Molécules différant par un groupe fonctionnel. Par exemple, le glucose est un aldose et le fructose est un cétose.
Isomères de position
Molécules différant par la position d’un atome ou d’un groupe, tels le 2-phosphoglycérate et le 3-phosphoglycérate.
Isomères optiques
Molécules différant par leur activité optique. Par exemple, le L-lactate est dextrogyre et le D-lactate est lévogyre.
Isomères stériques
Stéréoisomères. Molécules différant par leur configuration, tel le glucose et le galactose, deux hexoses, ou le D-lactate et le L-lactate, des isomères optiques.
Isozymes
Isoenzymes


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L’hormone de croissance stimule la croissance

• L’hormone de croissance stimule la croissance.
• La prolactine stimule la production et l’écoulement de lait.
• L’ocytocine permet d’initier le travail (les contractions jusqu’à l’expulsion de l’enfant) au moment de l’accouchement.
• Les hormones thyroïdiennes ont une action sur quasiment tous les viscères et sur l’ensemble de fonctionnements de l’organisme. • L’adrénaline, bien connue du grand public, possède la capacité de libérer du glucose à l’intérieur du sang, entre autres. • Le cortisol est une hormone moins connue. Elle possède la capacité d’agir sur le métabolisme du glucide c’est-à-dire l’utilisation du sucre par l’organisme, sur celui des protéines et des corps gras (lipides). Le cortisol est un anti-inflammatoire puissant qui contrôle l’excitabilité du système nerveux et qui possède des capacités antiallergiques.• L’insuline, comme nous l’avons signalé précédemment, permet de contrôler le niveau de sucre dans le sang


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De la neurophysiologie a la neurobiologie moleculaire

DE LA NEUROPHYSIOLOGIE A LA NEUROBIOLOGIE MOLECULAIRE

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Les vitamines

Les vitamines sont des molécules indispensables au bon fonctionnement de l’organisme humain تعليم_الجزائر, mais que celui-ci, n’étant pas capable de synthétiser en quantité suffisante تعليم_الجزائر, doit puiser dans l’alimentation.

A l’instar des idées reçues, une partie seulement des vitamines est thermosensible et instable comme la vitamine C, d’autres sont beaucoup plus stables comme les vitamines B. تعليم_الجزائر

LA VITAMINE A (OU RETINOL)

Cette vitamine est présente dans tous les fruits et légumes. Elle est aussi présente en grande quantité dans le foie.
Sa carence est exceptionnelle dans les pays développés. Dans les pays sous-développés, elle est responsable de cécité définitive, ce qui en fait la première cause de cécité dans le monde. En outre, elle engendre des problèmes de sécheresse cutanée et des ulcérations de la cornée.
Dans les pays développés, (USA en particulier), sa surconsommation engendre une hypertension intracrânienne (maux de tête intenses), des douleurs osseuses, une peau sèche, irritée et une chute des cheveux.

VITAMINE B1 (OU THIAMINE)

La vitamine est contenue dans beaucoup d’aliments comme la viande de porc, le pain, ou le riz. Elle est absorbée dans l’organisme au niveau du duodénum (intestin grêle).
La carence est responsable :
– d’atteinte du système nerveux et de polynévrite (atteinte des nerfs périphériques à type de fourmillement ou de paralysie), coma et décès.
– d’atteinte cardiaque avec oedèmes et marasme (très grosse insuffisance cardiaque).

La carence en vitamine B1 est connue dans les pays asiatiques sous le non de béribéri. On la rencontre dans nos pays chez les alcooliques. On la rencontrait en réanimation car la mise sous perfusion de glucose engendrait de grosse consommation de vitamine B1 (la vitamine B1 intervient dans la transformation du glucose en énergie).

Il n’y a pas de surdosage en vitamine B1, l’excédent étant spontanément éliminé.

VITAMINE B2 OU RIBOFLAVINE

Cette vitamine est très répandue, on la trouve dans les protides (viandes, abats, oeufs), dans la levure de bière, dans les végétaux.
L’organisme ne la stocke pas.
Sa carence se manifeste par des sécheresses des téguments (lèvres, peau, conjonctives, organes génitaux). En pratique, sa carence est toujours associée à la carence d’autres vitamines du groupe B. Les symptômes sont donc intriqués. Il s’agit surtout de malnutrition avec carences protidiques, mais la grossesse, les thyréotoxicose (excès de fonctionnement de la thyroïde), certains médicaments (chlorpromazine, imipramine, amitriptyline) peuvent en augmenter les besoins.

Il n’y a aucun effet de surdosage connu.

Cette vitamine réduit l’activité de certains antibiotiques (cyclines , érythromycine).

VITAMINE B3 OU PP OU ACIDE NICOTINIQUE OU NICOTINAMIDE OU NIACINE

On trouve cette vitamine dans les fèves et fruits, la levure de bière, les germes de blé, le foie (+++), le poisson. L’organisme peut la fabriquer à partir du tryptophane, mais de façon insuffisante.

Sa carence est avant tout liée à la malnutrition. Elle peut être favorisée par l’alcoolisme, la cirrhose, les syndromes de malabsorption, le diabète, l’hémodialyse, certains cancers , certains antibiotiques anti-tuberculeux.
Ses symptômes en sont la pellagre qui se caractérise par une inflammation de la peau, avec pigmentation, sensible à l’exposition solaire. Cette inflammation touche aussi les intestins, et se présente sous forme de diarrhée.
D’autres symptômes neurologiques sont plus contestables, car probablement liés à la carence associée d’autres vitamines.

Le surdosage engendre des diarrhées, des rougeurs, une élévation de la glycémie, des hépatites .

VITAMINE B5 OU ACIDE PANTOTHENIQUE

Cette vitamine est présente dans tous les aliments, « panthos » signifiant « partout » en grec. La carence ou l’hypovitaminose B5 est inconnue.
La vitamine B5 intervient dans la formation du coenzyme A qui sert à la transformation des sucres et des graisses, mais aussi à la synthèse des hormones cortico-surrénaliennes.

Il n’y a pas de surdosage connu.

VITAMINE B6 OU PYRIDOXINE

On la trouve principalement dans la levure de bière et les germes de céréales, la viande, les abats, le poisson, les produits laitiers, le jaune d’oeuf, les légumes verts et les fruits.
Sa carence est rarement d’origine alimentaire. Elle est plus souvent due à des médicaments (INH, hydralazine ; D pénicillamine).
Le besoin en vitamine B6 est accru par la grossesse, les oestro-progestatifs et les régimes riches en protides, l’alcool.
A noter que cette vitamine réduit l’effet de certains médicaments antiparkinsonniens.

La symptomatologie carentielle se traduit par une dermite séborrhéique (peau grasse, irritée), une inflammation de la langue. On trouve aussi de la dépression, de la fatigue, des convulsions, des anémies.

Le surdosage engendre des troubles sensitifs pouvant perdurer plusieurs mois.

VITAMINE B8 OU VITAMINE H OU BIOTINE OU CO ENZYME R

Cette vitamine est très répandue dans l ‘alimentation. On la trouve dans les abats, les fèves, les céréales.
La carence : Elle ne peut être que favorisée par des régimes extrêmes ou par la consommation exclusive d’oeufs crus qui en inhibent l’absorption intestinale.

L’hypovitaminose comme l’hypervitaminose ne sont donc pas connues.

VITAMINE Bc OU ACIDE FOLIQUE

Elle est présente en grande quantité dans les feuilles de certains végétaux (épinards) d’où le nom de « folique ». Elle est aussi présente dans le foie et les viandes.
La carence alimentaire n’existe que quant les besoins sont accrus (grossesse, anticonvulsivants, oestroprogestatifs, certains antibiotiques). Les symptômes sont :une anémie, une diminution de la résistance aux infections, des troubles du comportement et des atteintes des nerfs périphériques (fourmillement et perte de force). Dans la grossesse, cela peut engendrer des malformations graves.
L’alcool, le méthotrexate, les anticonvulsivants engendre également des carences en folates en interférant sur leur métabolisme.

Il n’existe pas de surdosage.

VITAMINE B12 OU COBALAMINE

Cette vitamine est présente en abondance dans les viandes et les laitages. Sa carence alimentaire est donc très rare. Cette carence est due le plus souvent à des problèmes d’absorption de la vitamine au niveau intestinal. On voit cela dans les inflammations ou ablations partielles de l’estomac ou de l’intestin grêle (gastrite, gastrectomie, maladie caeliaque, anse borgne, maladie de Crohn) et dans la maladie de Biermer qui est l’absence au niveau de l’estomac d’un facteur transportant la vitamine.

La carence se traduit par une anémie à gros globules rouges, par des signes neurologiques diffus à type d’atteinte des nerfs périphériques et du cerveau (paralysies, fourmillements, dépression, délires). Chez l’enfant, il existe un retard de croissance et psychomoteur.

Il n’existe pas de surdosage en vitamine B12.

VITAMINE C OU ACIDE ASCORBIQUE

La vitamine C est présente dans les fruits et légumes, particulièrement les agrumes, et dans les abats et le lait maternel.
La carence engendre le scorbut. Elle est exceptionnelle mais peut toucher des personnes ne se nourrissant que de conserves et de produits cuits.
Les symptômes de carence sont une asthénie, des douleurs diffuses, des hématomes et saignements pouvant aller jusqu’au décès.

Actuellement des études sont en cours pour évaluer son potentiel anti-infectieux et anti-cancereux mais à la date d’aujourd’hui aucune n’a mis en évidence d’effet.

Il n’existe pas de surdosage en vitamine C sinon un possible retard d’endormissement et des coliques.

VITAMINE D

La vitamine D est apportée par l’alimentation. Elle est présente dans le jaune d’oeuf, le beurre, le foie et plus particulièrement le foie de poisson. Elle peut aussi être synthétisée au niveau de la peau par l’action des ultra-violets sur une molécule : le 7-déshydrocholestérol.
Cette vitamine sert à la fixation du calcium sur les os. Sa carence engendre le rachitisme chez l’enfant et l’ostéomalacie chez l’adulte, c’est à dire des déformations osseuses, des retards de croissance et des fractures spontanées.
Le lait maternel et animal contient très peu de vitamine D. Il faut donc pour le nourrisson, compenser en apportant de la vitamine D ou en favorisant l’exposition de la peau au soleil. Les enfants à peau pigmentée ont plus de problème de rachitisme car ce pigment fait écran au passage des rayons ultra-violets et donc à la transformation du 7-déshydrocholestérol en vitamine D.
Chez l’adulte, la carence peut survenir suite à des diarrhées chroniques par stéatorrhée (élimination de graisses dans les selles). Ces stéatorrhées sont liées à des maladies du foie ou du pancréas, leurs enzymes digestives servant à digérer les graisses. Lors d’insuffisance rénale sévère, on assiste aussi à des ostéomalacies car le rein intervient dans la transformation de la vitamine D en forme active. Enfin certains médicaments anti-épileptiques (phénobarbital, diphényl-hydantoïne) interfèrent avec le métabolisme de la vitamine D dans le foie, en la transformant en forme inactive.
Il est habituel chez les sujets à risque, d’apporter des suppléments de forme adaptée de vitamine D pour éviter le rachitisme et l’ostéomalacie.

L’hypervitaminose D ou excès d’apport engendre un excès de calcium dans l’organisme. Cette hypercalcémie peut engendrer un arrêt cardiaque, des convulsions, de l’agitation, des nausées, une déshydratation par pertes urinaires d’eau (polyurie), de la fatigue intense. A moyen terme, on voit du fait de dépôts de calcium, des lésions rénales et des vaisseaux.
Le traitement de l’hypercalcémie est un traitement d’extrême urgence

VITAMINE E

La vitamine E est présente des graisses car elle est liposoluble. On la trouve dans l’huile de germes de céréales, les légumes verts à feuille, les huiles végétales, la margarine, le beurre, le foie, le poisson, la viande, le jaune d’oeuf et les produits laitiers.
Elle est un agent conservateur fréquemment utilisé.

La carence en vitamine E est rare. Elle peut provoquer une anémie, des troubles nerveux et des maladies de la rétine chez l’enfant.

La vitamine E étant un anti-oxydant et intervenant dans l’immunité et la fertilité, elle est utilisée comme agent anti-vieillissement, anti-infectieux et comme stimulant de la fécondité. Il n’y a pas actuellement de base solide pour en affirmer l’intérêt.

Hormis chez le nouveau-né, il semble qu’il n’y ait pas de risque d’hypervitaminose E.

LA VITAMINE K

Cette vitamine est apportée par l’alimentation sous la forme d’un précurseur, la vitamine K1 qui est transformée en vitamine K2 par les bactéries contenues dans l’intestin, absorbée par le tube digestif et stockée dans le foie.
Cette vitamine sert à fabriquer des facteurs de coagulation pour le sang. Ces facteurs sont synthétisés dans le foie. La carence en vitamine K donne des hémorragies, des hématomes. A noter que cet effet, médicalement contrôlé, est recherché pour lutter contre le risque d’excès de coagulation (les embolies ou les phlébites par exemple)

La carence en vitamine K existe chez le nouveau-né, qui n’a pas de stock hépatique et reçoit à la naissance, pour compenser, un dose intra-musculaire de vitamine K1.
Chez l’adulte, la carence alimentaire n’existe pas. Elle peut être la conséquence d’une destruction des bactéries intestinales (traitements antibiotiques) ou d’une mauvaise absorption des graisses (certaines maladies du foie ou du pancréas) car la vitamine K est liposoluble : elle pénètre dans l’organisme avec les graisses.

Les VITAMINE B4 (OU CHLORYDRAYE D’ADENINE), VITAMINE B13 (OU ACIDE OROTIQUE), VITAMINE P (OU RUTINE), VITAMINE T (OU CARNITINE), VITAMINE B15 (OU ACIDE PANGANIQUE)

Ce sont des produits qui portent le qualificatif de vitamine, mais leur nature vitaminique (indispensable et insuffisamment synthétisée) n’est pas prouvée et leur carence discutée et peu expressive, donc sans grand intérêt

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شكرا أريد الموضوع بالعربية من فضلك

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merci le sujet est tres important dans nos vies merci pour l’information

Merci beaucoup pour cette information précieuse.

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Structure et caractéristiques de la mitochondrie

En condition aérobie, le pyruvate issu de la glycolyse est oxydé dans la mitochondrie.

L’origine de la mitochondrie semble établie : elle dérive de l’endosymbiose d’une bactérie de la classe des a-protéobactéries dans une cellule précurseur. L’origine de la double membrane mitochondriale n’est pas élucidée.

Les mitochondrie ont une structure en forme de batonnet ou de sphère de 0,5 à 1 µm de diamètre. Leur nombre est variable selon l’activité métabolique.

Ce sont des organites semi-autonomes : elles possèdent leur propre génome (ADN, gènes), des ribosomes 70S, des ARN, et une trentaine de protéines y sont synthétisées directement.

Le génome mitochondrial des plantes est beaucoup plus grand que chez les animaux (voir ci-après) : 195 à 2400 kilo paires de bases. La plupart de l’ADN en excès est non codant et la structure du génome semble trés fluide.

Un type de modification post-transcriptionnel particulier est l’édition des ARN (“RNA editing”). Cette modification affecte essentiellement les ARN messagers mais également certains ARNt mitochondriaux : une conversion de C en U corrige une paire de bases incorrecte [C:A] en une paire de bases classique [U:A]. Elle a pour conséquence un changement dans la séquence en acides aminés des protéines codées.

Exemple du gène de la cytoxydase :

* la séquence nucléotidique ATT CGT GGA code pour les acides aminés Ile – Arg – Gly

* dans l’ARN, C devient U, d’où la séquence ATT CGT GGA qui code pour les acides aminés Ile – Cys – Gly

L’édition des ARN est vitale pour les plantes car, dans l’exemple choisi, la cystéine lie un atome de cuivre qui rend la cytoxydase fonctionnelle.

La mitochondrie est limitée par deux membranes de propriétés très différentes :

* La membrane externe est pauvre en protéines et contient une protéine transmembranaire, la porine, qui permet le passage des ions et des métabolites hydrosolubles de masse molaire < 10.000 Da.

* A l’inverse, la membrane interne est très riche en protéines mais elle est quasiment impérméable aux ions et aux métabolites hydrosolubles. Ces substances ne peuvent traverser la membrane qu’à l’aide de protéines membranaires de transport (qu’on appelle “navette”) : l’ATP, l’ADP et le Pi sont transportés par ce type de protéines.

* L’espace entre ces deux membranes s’appelle l’espace intermembranaire.

* La zone interne de la mitochondrie (bordée par la membrane interne) s’appelle la matrice. Elle contient les enzymes du cycle de Krebs et la plupart de celles qui catalysent l’oxydation des acides gras.

* La chaîne respiratoire est localisée dans la membrane interne des mitochondries. Le nombre des crêtes accroit la surface de cette membrane et ainsi chaque mitochondrie contient des milliers d’exemplaires de la chaîne de transport d’électrons. Les crêtes pénètrent dans la matrice.

* Certaines protéines mitochondriales sont synthétisées par la mitochondrie, mais la plupart d’entre elles sont codées par le génome nucléaire et importées dans la mitochondrie.

Source figures :

*

“Principes de Biochimie” Horton, Moran, Ochs, Rawn et Scrimgeour (1994), Ed. DeBoeck Universités

*

“Biologie”Campbell (1995) Ed. De Boeck Université





Le génome mitochondrial chez les animaux est une molécule d’ADN circulaire double brin de 16,5 kilo paires de bases (beaucoup plus petit que celui des plantes).

Les gènes qui le composent sont :

* 2 gènes d’ARN ribosomiques (12S et 16S)

* 22 gènes d’ARN de transfert nécessaires à l’expression de l’ADN mitochondrial (représentés par les points)

* 13 gènes codant pour des protéines de la chaîne respiratoire :

1. ND : NADH-déshydrogénase

2. Cytb : cytochrome b (ubiquinone-cytochrome c-réductase)

3. CO : cytochrome c-oxydase

4. ATPase : ATP-synthase

La boucle D est une région de contrôle de la réplication et de la transcription qui comporte deux promoteurs de transcription (HSP et LSP) et une origine de réplication (OH).

Source : May-Panloup et al. (2004) “Mitochondries et reproduction” Médecine sciences 20